Dans sa volonté inébranlable de recueillir les préoccupations et doléances des communautés vivant dans son périmètre d’exploitation et de production, la Compagnie minière de l’Ogooué (Comilog) poursuit sa série de contacts avec lesdites communautés. Ce dialogue communautaire direct, renoué le 6 novembre dernier, sous l’égide des autorités politico administratives locales, s’est poursuivi le week-end écoulé dans les villages et regroupements de villages du département de la Lébombi-Léyou, sur l’axe Moanda-Bakoumba, province du Haut-Ogooué (sud-est).
Tout comme dans les quartiers Belle Vue 1 et 2, Lékolo, Moanda-Tséghé, Miosso Téléphérique, Léyima et Sotraho, où elle est passée en début de mois, la Comilog a écouté les communautés, entendu les plaintes adressées dans le cadre de l’impact de son activité et échangé, en toute franchise avec les ses interlocuteurs vivant dans ces zones rurales.
Dans les regroupements de Ndjangatébé, Magnima, Lémagna, Mayéla, Konda ; ainsi que dans les villages Midumu, Landébéghé et quartiers du Mont-Moanda, les doléances et problématiques émises par les notables, les représentants des jeunes et des femmes, restaient invariables.
Elles portaient principalement sur des questions liées au chômage des jeunes, l’accès à l’eau, les voiries urbaines et rurales, la construction et l’équipement des cases d’écoute communautaire, l’entrepreneuriat, la construction des dispensaires et leur dotation en médicaments de première nécessité, l’éducation, la construction des marchés, l’autonomisation des jeunes filles mère, l’eau, l’électricité, l’éclairage publique, etc.
L’Administrateur directeur général de la Comilog (ADG), Leod Paul Batolo, a dans le franc parlé et l’esprit didactique qu’on lui connait, répondu aussi exhaustivement et aussi objectivement que possible, aux différentes préoccupations soulevées, tout en énumérant ce qui pouvaient être fait dans l’immédiat et progressivement.
A toutes les étapes, la Comilog était accompagnée par les représentants des quatre (4) établissements de microfinance actifs dans le cadre du Fonds d’amorçage destinés à soutenir l’entrepreneuriat local, a-t-on constaté.
Cette démarche, qui s’inscrit dans le cadre de la feuille de route ‘’RSE Act for Positive mining’’ du groupe Eramet et de la Comilog, et qui est bien encadrée par les autorités locales, vise à mieux impliquer les communautés dans la gestion des impacts et l’investissement communautaire.
Elliott Ana Merveille
*Source: Comilog