Oyima introduit chez Oligui Nguéma un homme d’affaires qui veut investir dans l’élevage au Gabon

Henri-Claude Oyima, président de la Fédération des entreprises gabonaises (FEG) et du Conseil d’administration de la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (BVMAC) a introduit vendredi dernier au cabinet du président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguéma un homme d’affaires italien qui veut investir dans l’élevage et ses dérivés au Gabon.

Léonardo Bellucci a proposé au président de la Transition d’investir dans des domaines majeurs tels que l’élevage, la boucherie et ses services dérivés ou encore dans le secteur de l’énergie.

L’homme d’affaires italien a dit tout son soutien au Gabon dans sa bataille en faveur de la sécurité alimentaire des populations, indique un twitte de la présidence gabonaise.

Marie Dorothée

14 thoughts on “Oyima introduit chez Oligui Nguéma un homme d’affaires qui veut investir dans l’élevage au Gabon

  1. C’est dommage qu’il soit toujours indispensable de passer par le chef de l’état pour faire quoi que ce soit au gabon ce sont des mécanismes qui si on ne les dénonce pas con tinueront à reproduire et a enfanter , les présidents roi

  2. Finalement ce « Logiciel » a du mal à changer dans la tête de certains. Ce sont les mêmes qui ont fait miroiter à l’autre équipe de paresseux-jouisseurs, les mêmes solutions faciles et vaseuses, qui lui ont donné le sentiment que ce sont les investisseurs étrangers qui sont la clé du développement du Gabon. Résultats: échec et mat sur toute la ligne pendant 57 ans…et « Coup de liberté » pour sortir de là! Tout cela, simplement parcequ’on ne veut pas faire emmerder une classe d’hommes d’affaires prospères de gabonais de souche; en libéralisant simplement les crédits à l’investissement et donc au financement de projets des TPE-PME-PMI des gabonais de souche.
    Toujours ce même complexe de « l’ailleurs » fruit des mêmes gens, partisants du moindre effort et adepte de l’argent facile (surtout celui du contribuable).
    Je suis tranquille, car je subodore que le Président de la Transition n’est pas aussi c..on que les autres, et qu’il saura vous remettre aux places réelles qui sont les vôtres, avec vos projets factices.
    Patriotiquement Vôtre!

  3. Finalement ce « Logiciel » a du mal à changer dans la tête de certains. Ce sont les mêmes qui ont fait miroiter à l’autre équipe de paresseux-jouisseurs, les mêmes solutions faciles et vaseuses, qui lui ont donné le sentiment que ce sont les investisseurs étrangers qui sont la clé du développement du Gabon. Résultats: échec et mat sur toute la ligne pendant 57 ans…et « Coup de liberté » pour sortir de là! Tout cela, simplement parcequ’on ne veut pas faire emmerger une classe d’hommes d’affaires prospères de gabonais de souche; en libéralisant simplement les crédits à l’investissement et donc au financement de projets des TPE-PME-PMI des gabonais de souche.
    Toujours ce même complexe de « l’ailleurs » fruit des mêmes gens, partisants du moindre effort et adepte de l’argent facile (surtout celui du contribuable).
    Je suis tranquille, car je subodore que le Président de la Transition n’est pas aussi c..on que les autres, et qu’il saura vous remettre aux places réelles qui sont les vôtres, avec vos projets factices.
    Patriotiquement Vôtre!

    PS: Tant pis si vous ne publiez pas, moi j’ai dit!

  4. C’est comme dit l’autre plus haut, le développement du Gabon passe par le libéralisme économique et du soutien efficient des PM. P.MI, et passant par de projet basiques individuels a forte valeur ajoutée et sur la base du concept de faisabilité et de la diversification.
    Toutes bases d’investissements, qu’elles soient mécaniques, ou en RHS ne doivent compter que sur, les premiers bénéficiaires et consommateurs: Le
    gabonais
    Pour mieux consommer local, cassons d’abord les barrières douanières qui entravent sérieusement a tout développement économique dans ce pays.
    Le Cameroun, en abaissant la taxation douaniere a atteint l’autosuffisance en tout.

  5. C est bien l élevage au Gabon. M.le Président Brice Clotaire OLIGUI.N Nous Gabonais souhaitons que vous envoyez des jeunes Gabonais se former dans les secteurs prometteurs dans des bonnes écoles à l étrangers et faire en sorte que ces jeunes reviennent bien qualifiés afin de mieux développer notre pays.Pardon affaire de partenaires la,laissons ça d’abord. Pourquoi pas former des Gabonais dans l élevage, il faut que c est Italie qui le face pour nous.

    qu on a besoi

  6. Mais qui a eu envie d’investir dans ce secteur qui est allé voir les autorités de la transition qui s’est vu refusé des prestations?
    Si quelqu’un a des choses à investir qu’il se dénonce. Nous ne sommes plus à l’ère où tout n’est qu’expatrié. La preuve, plus de marchés accordés aux étrangers en dessous de 150 millions de francs CFA.

  7. La dépendance alimentaire au quelle nous sommes victimes nous conduire prendre nous même gabonais en charge de ce secteur, en commençant par l’élevage traditionnel d’autre fois puis l’encadrement et la formation dans ce secteur d’activité des gabonais. N’oublie pas que le Gabon importe énormément ce qu’il mange

  8. Il faut bien féliciter les actions dont les intérêts sont nationaux. Le projet est intéressant pour le pays à conditions qu’il ait des associés GABONAIS ayant déjà commencés des investissements dans le secteur.
    La FEG devrait regrouper les entreprises Gabonaises et non les mes entreprises installées au Gabon. Cette nuances permettrait de recenser les entreprises de nos compatriotes qui survivent depuis plusieurs décennies et d’arrêter le marketing des Majors( total, assala , perenco , sinopec ) qui très souvent se retrouvent dans les délégations officielles d’hommes d’affaires Gabonais au côtés du chef de l’état.
    Les entrepreneurs Gabonais sans tâches existent ils travaillent et aident au développement à Port-Gentil et à travers le Gabon. Ils ont peu de temps pour les discours et les photos de famille.

  9. Il y a déjà plusieurs gabonais qui font dans l’elevage ici aucun soutien on ne parle pas d’eux toujours dans l’ombre mais une fois un étranger arrivé ça y est il est sur le devant le scène pourquoi ? On a dit Gabon d’abord donc propulsé d’abord nos frères gabonais qui y sont déjà et ceux là qui veulent bien se lancer dedans

  10. A l’heure ou l’on s’acharne a vouloir nationaliser tous les secteur au Gabon et surtout le domaine de l’agriculture et l’elevage….voici quelqu’un qui a trouver une opportunite de s’en emparer.
    Les investisseurs c’est bien mais si cest pour qu’ils aient a nouveau le monopol et etre a nouveau dependant le combat actual ne sera que feu de paille.
    Je crois qu’ils nous test ces gens la et veulent voir jusqu’ou on peut aller
    #nonal’independancealimentaire
    #onpeutplanter
    #onpeutfairedel’elevage

  11. Il y a un Gabonais au Sénégal qui a investi dans le domaine de l’élevage de poulet. Que l’Etat le fasse revenir pour qu’il apporter son expertise dans son pays le Gabon.

  12. Venez investir dans l’énergie comme ça la SEEG va faire moins le malin quand elle aura enfin un concurrent car franchement elle fait la merde. S’il y a des gabonais qui souhaiteraient investir dans ce domaine qu’ils se prononcent ! Dans le cas contraire qu’ils laissent les autres le faire sauf que cette fois-ci c’est nous qui allons fixer le prix du Kg de viande (1000 F).

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