«  Espoir 2023 » pour dire NON aux violences électorales

Barrer la route à toute forme de violence, particulièrement aux violences électorales en
étant des chantres de la paix. C’est l’objectif du mouvement «  Espoir 2023 », qui a décidé
de mobiliser les femmes en prélude aux élections générales du 26 août.

C’est fort des expériences des élections antérieures, particulièrement la présidentielle de
2016 que le mouvement «  Espoir 2023 » s’inscrit comme un catalyseur du message de Paix,
de cohésion, d’amour pour le Gabon. Avec en première ligne des femmes, pour la
reconnaissance de leur rôle de porteuse de vie, de mère, d’épouse, de fille et de sœur.
Le message est porté par trous générations de femmes Gabonaises déterminées à dire « Non
à violence ‘ Non à la casse. Non au vandalisme parce que nous n’avons de un pays de
rechange. »


Pour la première génération, les jeunes, la violence est une menace pour la sécurité, qui
détériore le tissu social en engendrant la peur, la méfiance, la division parmi les concitoyens
en favorisant un cycle de traumatisme qui peut se perpétuer d’une génération à l’autre.
La seconde génération, elle, estime que « au-delà de nos clivages politiques, de nos
différences religieuses ou autres, nous pouvons créer ensemble, un avenir où nos villes et
nos villages retentiront de rires plutôt que de bruits de fracas. »


« Si jeunesse savait et si vieillesse pouvait, elle raconterait le bonheur d’appartenir à cette
terre, la terre de mes ancêtres, le Gabon », clame la 3 e génération, affirmant par ailleurs,
« qu’il n’y de jamais eu des gabonaises de l’opposition ou de la majorité , il n’y de au Gabon
qu’une seule femme c’est la Gabonaise forte et responsable ».


Un message d’espoir qui sera porté par chaque femme tout au long de cette période
électorale, dans les cellules familiales et familles politiques, afin de prévenir les violences.

Estelle Amvane

One thought on “«  Espoir 2023 » pour dire NON aux violences électorales

  1. Les violences électorales sont le résultat de l’obsession par une famille qui croit que le Gabon leur appartient. Et si encore ils avaient quelque chose dans la tête. Malheureuaement ce sont des tonneaux vides qui ne font que trop de bruit.

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