« La bonne gouvernance de l’eau est facteur de paix dans le monde » (Julien Nkoghe Bekale à l’Assemblée Générale de l’UCESIF 2023 à Cotonou)

Le président du CESE, Julien Nkoghe Bekale durant l’Assemblée Générale de l’UCESIF 2023 à Cotonou © D.R

Le Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE) du Gabon, Julien Nkoghe Bekale, qui a pris une part active à l’Assemblée Générale de l’Union des conseils économiques, sociaux et institutions similaires francophones (UCESIF) ayant eu lieu du 01 au 02 juin dernier à Cotonou au Benin sur la « gouvernance de l’eau », a, déclaré que l’eau potable est vitale pour la survie de l’humanité.

« La bonne gouvernance de l’eau est facteur de paix dans le monde », a déclaré M. Nkoghe Bekale, indiquant par ailleurs que ce précieux liquide est plus qu’une nécessité.

La messe environnementale a eu lieu sous la principale thématique : « la place des conseils économiques et sociaux de l’espace francophone dans la gouvernance de l’eau ». Elle a été présidée par Thierry Beaudet, président du CESE de France, par ailleurs président en exercice de l’UCESIF.

Les participants posant pour la postérité © D.R
Les participants posant pour la postérité © D.R

Les conseillers économique, sociaux et environnementaux du monde francophone, ont centré leurs réflexions suivant les résolutions issues de la conférence des Nations Unies pour l’eau, tenue le 22 mars 2023 à New York aux Etats Unis.  Face au réchauffement climatique qui expose la planète à bien de calamités dont l’accès à l’eau potable, ces CESE se sont engagé à renforcer les « actions internationales francophones relatives à la gestion de l’eau ».

Dans la déclaration baptisée : « l’appel de Cotonou », sanctionnant la fin des travaux de l’UCESIF 2023, les participants ont invité les gouvernements à mettre en Haut de leurs  agendas politiques, la « question vitale de la gouvernance de l’eau » afin de permettre aux populations d’avoir accès à l’eau potable.

Pour Julien Nkoghe Bekale, « l’eau est un indicateur du développement humain ».

Camille Boussoughou

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