Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Paul-Marie Gondjout, a supervisé en personne, les finales du chant de l’Hymne national « La Concorde », organisé par le Centre national de gestion des sceaux et des symboles de la république (CNGSSR). Dans les deux catégories en compétition, (6-10 ans et 11-16 ans), les vainqueurs ont reçu les lots promis devant un parterre d’officiels et des familles des lauréats.
C’est Théophile Igalo S’anyambye Imepo et Kinny Telele Moussounda Bimboundza qui ont remporté ce concours de chant de l’Hymne national « La Concorde », dont les finales ont eu lieu le jour même de la célébration de la Journée nationale du drapeau, le 9 août dernier.
Ces deux champions qui ont triomphé, chacun dans sa catégorie face à une trentaine de concurrents, ont reçu des mains du ministre de la Justice, Garde des sceaux, Paul-Marie Gondjout, des bons d’achat d’une valeur de 125 000 à 150 000 francs CFA. Les autres finalistes ont également été récompensés par des bons d’achat allant de 75 000 à 100 000 francs CFA et tous les participants se sont vus remettre des attestations de participation, symbolisant leur engagement dans ce concours patriotique.
« L’objectif principal de ce concours est l’éveil des valeurs patriotiques » a souligné le ministre de la Justice, s’adressant particulièrement à la jeunesse gabonaise qui « représente l’avenir du pays et les défenseurs des couleurs nationales », a affirmé Paul-Marie Gondjout.
Ibogny Mbadinga, directrice générale du Centre national de gestion des sceaux et des symboles de la république, est revenue sur le cadre et les objectifs de ce concours, en insistant sur la nécessaire transmission des valeurs citoyennes dès le plus jeune âge, soulignant l’importance d’inculquer l’amour de la patrie aux enfants. « En tant que parent, il ne fait aucun doute que nous avons la responsabilité de transmettre des valeurs aux enfants dès qu’ils sont en âge de comprendre » a-t-elle suggéré.
Elliott Ana Merveille
