Les populations de Matanda dans le 4e arrondissement de Port-Gentil, sont toujours écœurées à la suite de ce que Christ Mouanda Ibiatsi aurait fait à sa fille de 5 ans. Ce gabonais de 30 ans est accusé de fellation sur sa propre fille de 5 ans. Selon ses déclarations bible à la main pour se repentir, le visage de sa compagne qui lui met toujours en érection aurait apparu sur celui de sa deuxième fille. Étrangement, une envie lui ait montée à la tête au point de vouloir une fellation.
« Et tout de suite j’ai eu une envie et j’étais en érection sur le coup, j’ai fait faire la fellation à ma fille, j’ai juste fait rentrer le pénis. Quelques minutes, le visage de l’enfant est revenu », insinue-t-il.
De cette scène étrange, il enjoint à la môme de se taire à jamais et de ne dire mots à sa mère avant de lui acheter biscuits, bonbons et gâteaux. Un acte qu’il va répéter en l’absence de la matriarche qui s’en va chaque matin à sa bricole. Prétextant être possédé par des »mauvais esprits », il ne s’est jamais dépêcher d’aller consulter un homme d’église encore moins un Nganga (soignant traditionnel). Bien au contraire, il dit avoir été séduit par le visage de sa copine qui a un autre jour apparu sur celui de sa fille. Là encore, il introduit son organe sexuel dans la fine bouche de la gamine pour se »mettre à l’aise ».
« Quand j’ai essayé de faire rentrer le pénis à la bouche de l’enfant, l’image du visage de ma chérie a disparu », poursuit Christ Mouanda Ibiatsi.
Une énième fois, le trentenaire père de famille alors qu’il avait envoyé l’une de ses fillettes chez le boutiquier du quartier, a vécu la même scène. Le visage de sa dulcinée est une nouvelle fois apparu sur celui de sa fillette de 5 ans allongée pas très loin de lui. Il eu une nouvelle fois envie de satisfaire ses délires sexuels alors même que deux 2 heures auparavant, il eut des rapports sexuels avec la génitrice des gamines.
« C’est à deux reprises que j’ai eu à le faire. Ça s’est passé deux fois lorsque j’ai vu cet esprit diabolique. J’ai eu peur de la réaction de madame, voilà pour quoi je ne lui ai rien dit », rajoute le père incestueux.
Découvert par la mère des fillettes qui était rentrée plutôt de sa bricole, l’homme a tenté de se faire pardonner en vain. C’est ainsi qu’il a décidé personnellement de se rendre auprès de l’unité provinciale de la Police judiciaire de la capitale économique, où il était avoué ses actions incestueuses aux agents. Il a été balancé à la prison centrale de Port-Gentil (Château) où il attend son procès.
Jean-Jacques Rovaria Djidji