Fréderic Bader Zogo (touffe de cheveux) © R. L. Medza
Le célèbre journaliste sportif de la première chaine de Radio télévision gabonaise (RTG1) devenue Gabon 1ère est décédé vendredi à Oyem des suites d’un malaise cardiaque, a appris Gabonactu.com de source proche de Radio Gabon.
Brillant chroniqueur sportif des années 90 à 2020, Frédéric Bader Zogo, qu’on appelait aussi Frédéric Bader Zogo de Mimbeng en référence à son village situé dans la province du Woleu Ntem (nord du Gabon) avait pris sa retraite il y a quelques années.
Il est décédé à Oyem des suites d’un malaise, a rapporté l’Agence gabonaise de presse (AGP), citant une source familiale.
Les auditeurs de Radio Gabon se souviennent de sa voix percutante, présente et ses envolés lyriques lors des grands rendez-vous de l’Azongo national le onze national du Gabon devenu Les Panthères du Gabon.
Le journaliste, passionné de football, a servi tant à Radio Gabon qu’à la télévision nationale gabonaise. Il était reconnaissable par sa grande touffe de cheveux toujours taillés comme des fleurs d’un beau jardin, style des années 70.
Ses confrères de la Radio et la télévision nationale gabonaise ont salué l’œuvre de ce grand chroniqueur sportif qui s’est fait remarquer par son talent et sa modestie.
« Au revoir ESSA, merci pour tout ce que nous avons réussi avec toi et grâce à toi. Merci pour ton apport et ton grain de sel, qui ont contribué à former la journaliste sportive que je suis« , a écrit la journaliste Raïssa Laure Medza, chef de service de sports à Gabon 1ère.
Marie Dorothée
Repose en paix Cher Frère!
Encore un gabonais qui s »éteint et peut-être aurait-il pu sauver sa vie s’il avait perçu à temps ses rappels de pension et de salaires.
Monsieur Oligui Nguéma et consort. Combien de gabonais doivent mourir dans la misère malgré le déblocage de 18 milliards de francs alloués au Budget 2024?
Arrêtez de jouer au chat et à la souris avec les pauvres fonctionnaires. Cet argent leur revient de plein droit.
Aucun pays occidental ne paie sa dette extérieure avant sa dette envers ses citoyens.
Le petit Gabon a-t-il besoin de continuer à s’endetter malgré ses énormes richesses et impôts que paient les entreprises?
Arrêtez de gaspiller de l’argent pour qu’on vous accorde davantage de dettes qui ne servent même pas au peuple qui croupit dans la misère dans le pays le plus riche au monde par habitant. Trop c’est trop.