Dialogue national inclusif : Focus sur les questions relatives à l’emploi et à la réinsertion professionnelle

Trois jours après le lancement des travaux en commissions et en sous-commissions, le parole-parole du dialogue national inclusif, Mgr Jean Bernard Asséko Mvé, a une fois de plus choisi de rendre compte, dans sa communication quotidienne, de l’évolution des débats au sein de deux (2) des quatre (4) sous-commissions de la commission économie. Comme mardi dernier.

Dans sa synthèse quotidienne, le porte-parole du dialogue a indiqué qu’après la pause relative à la célébration de la fin du jeûne de ramadan, mercredi, les débats ont donc repris tous leurs droits, jeudi, dans l’ensemble des trois (3) commissions de travail instituées, avec soutient-il « le même dynamisme et le même entrain chez les commissaires ».

Mgr Jean Bernard Asséko Mvé est ensuite revenu sur le travail en ateliers portant essentiellement sur les questions liées à l’emploi. Cet atelier, a-t-il renseigné « a bouclé avec la question de l’auto-emploi et ouvert des réflexions sur l’accès à l’emploi, la réinsertion professionnelle, la protection sociale des salariés et les mécanismes d’accès rapide des jeunes à l’emploi ».

Dans la même sous-commission, les questions relatives à des mesures à mettre en œuvre pour répondre aux sollicitations des gabonais ont été également examinées. Il s’agit notamment « de la convention sur la passation des marchés, les conventions collectives, l’emploi de toutes personnes vivant avec un handicap et le recrutement de la main d’œuvre étrangère ».

 Dans la sous-commission infrastructures, a conclu Mgr Jean Bernard Asséko Mvé, les débats ont porté « sur la localisation et la faible capacité de l’aéroport de Libreville, ainsi que sur les questions de navigation fluviale et insulaire ».

Selon certaines confidences faites sous anonymat, les commissaires auraient été instruits de ne pas se confier aux professionnels de l’information qui n’ont pas l’accès aisé aux débats en ateliers. Les communications du porte-parole des assises demeurent donc pour l’heure la seule source d’accès à ce qui se fait actuellement dans les commissions et sous-commissions.

Alph’-Whilem Eslie

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