Jocktane Mvele Ontoula envoyé au gnouf pour avoir violé une déséquilibrée mentale

La quarantaine révolue, Jocktane Mvele Ontoula, vient d’être jeté à la maison d’arrêt de Port-Gentil, pour avoir violé une déséquilibrée mentale. Le criminel sexuel présumé devra répondre à la barre lors des prochaines sessions criminelles, du crime de viol sur une personne déficiente mentale.

Pour ce qui est des faits, ils ont eu lieu le 25 juin dernier à la hauteur du quartier Île Mandji, situé dans le troisième arrondissement de Port-Gentil. Là-bas, Sophie déficiente mentale âgée de 33 ans y vit avec sa chère maman, qui n’a de cesse de prendre soin d’elle. En balade dans son quartier après le boulot, sieur Mounguengui fit la rencontre de deux tourtereaux en pleine action. Curieux et marchant sur la pointe des pieds, il s’est rendu immédiatement compte que la fille de sa voisine subissait un abus sexuel. C’est ainsi que discrètement il alla appeler le renfort afin de mettre la main sur le présumé agresseur sexuel.

Ayant su que sa mission allait très vite prendre fin après qu’il ait été aperçu, l’ambition de Jocktane Mvele Ontoula d’assouvir sa libido avait atteint son paroxysme. C’est ainsi qu’il va prendre sa victime de force pour l’emmener dans une maison abandonnée, afin de soulager son envie sexuelle. Sachant la jeune fille en danger auprès de Jocktane Mvele Ontoula, sieur Mounguengui va poursuivre revint avec les mains fortes et les surprendra en plein ébats sexuels sur un morceau de carton posé soigneusement par terre.

Se sachant découvert le mise en cause  aurait décidé de sauter par la fenêtre de la maison inachevée, avant d’escalader la clôture d’une maison. C’était sans compter sur la détermination de Mounguengui qui avait après lui. Intercepté après son saute-mouton, Jocktane Mvele Ontoula, a été conduit manu militari au poste de la brigade de gendarmerie de l’Océane, où il a été auditionné avant de reconnaître les faits à lui reprocher.

Puni par l’article 256 du code pénal, le prédateur sexuel présumé  a été placé sous mandat de dépôt.

Vincent Ranozinault

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