L’opposition délestée de ses militants importants par le parti au pouvoir

Guy Nzouba Ndama, un des leaders politiques qui a perdu gros ces derniers temps avec la défection de son parti LD des cadres et élus nationaux © D.R

Le leader du parti Les Démocrates (LD, opposition), Guy Nzouba Ndama, a connu une fois de plus une défection et pas des moins de ses rangs, avec la démission du Secrétaire général du parti, Vincent de Paul Ella Menié, qui vraisemblablement devra rallier le Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) comme ses deux amis  (Jean Norbert Diramba et Jean Pierre Douckaga Kassa), qui ont claqué la porte un mois avant lui.

La « convenance personnelle » est la principale raison relevée par Vincent de Paul Ella Menié démissionnaire, qui était considéré comme l’éminence grise du jeune  parti dont il est membre fondateur depuis le 11 mars 2017.

Un véritable coup dur pour Guy Nzouba Ndama qui fait face à la furie d’un vaste plan de débauchage déroulé par le régime d’Ali Bongo avant les élections générales (législatives, locales et présidentielles) de 2023.

Cette lourde a pilonné également le Parti social-démocrate (PSD, opposition) dirigé par Pierre Claver Maganga Moussavou.  En l’espace de deux semaines, courant ce mois d’avril, deux députés, Franck Bokamba Ndombi Atabi et Gladys Moulengui, ont démissionné avec plusieurs élus locaux pour rejoindre par la suite le PDG.

Le Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM, opposition) d’Alexandre Barro Chambrier et l’Union nationale de Paulette Missambo ne sont pas  épargnés par les éclats d’obus lancés par le PDG pour neutraliser ses ennemis politiques.

Le leader du parti Les Démocrates (LD, opposition), Guy Nzouba Ndama, a connu une fois de plus une défection et pas des moins de ses rangs, avec la démission du Secrétaire général du parti, Vincent de Paul Ella Menié, qui vraisemblablement devra rallier le Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) comme ses deux amis  (Jean Norbert Diramba et Jean Pierre Douckaga Kassa), qui ont claqué la porte un mois avant lui.

La « convenance personnelle » est la principale raison relevée par Vincent de Paul Ella Menié démissionnaire, qui était considéré comme l’éminence grise du jeune  parti dont il est membre fondateur depuis le 11 mars 2017.

Un véritable coup dur pour Guy Nzouba Ndama qui fait face à la furie d’un vaste plan de débauchage déroulé par le régime d’Ali Bongo avant les élections générales (législatives, locales et présidentielles) de 2023.

Cette lourde a pilonné également le Parti social-démocrate (PSD, opposition) dirigé par Pierre Claver Maganga Moussavou.  En l’espace de deux semaines, courant ce mois d’avril, deux députés, Franck Bokamba Ndombi Atabi et Gladys Moulengui, ont démissionné avec plusieurs élus locaux pour rejoindre par la suite le PDG.

Bien avant  ceux là, plusieurs poids lourds de l’opposition avaient déjà rejoint le camp d’Ali Bongo à  l’instar de René Ndemezo’o Obiang, Jean Eyeghe Ndong, Féfé Onanga et  Frédéric Massavala Maboumba, tous  anciens soutiens de Jean Ping, devenu l’ombre de lui même.

Le Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM, opposition) d’Alexandre Barro Chambrier et l’Union nationale de Paulette Missambo ne sont pas  épargnés par les éclats d’obus lancés par le PDG pour neutraliser ses ennemis politiques.

Sydney IVEMBI

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