La société d’exploitation d’or, Alpha Centauri Mining (ACM) a présenté un premier bilan de ses infirmeries communautaires implantées dans les localités de Maybouth, Ntsinkele et Makala, toutes situées dans les zones impactées par ses opérations minières.
Mises en service en 2020, ces structures de santé de proximité ont déjà permis de prendre en charge plus de 19 000 patients, selon les chiffres communiqués par l’entreprise. L’objectif principal est d’offrir un accès gratuit aux soins médicaux de base et à la distribution de médicaments dans des zones rurales souvent éloignées des centres hospitaliers traditionnels.
Avec un taux de fréquentation moyen de 10 patients par jour, ces infirmeries jouent un rôle crucial dans la prise en charge des pathologies courantes et dans la prévention sanitaire auprès des populations locales.

« Notre engagement est clair : faire de la santé une priorité, en soutenant les zones qui accompagnent notre croissance. Ces infirmeries sont une réponse concrète, durable et humaine à un besoin essentiel », a déclaré un représentant de la direction d’Alpha Centauri Mining.
Engagée depuis plusieurs années dans une démarche de Responsabilité sociétale des entreprises (RSE), ce projet s’inscrit dans une vision plus large de développement inclusif, où la santé est considérée non seulement comme un droit fondamental, mais aussi comme un facteur clé de stabilité et de cohésion sociale.
Par cette initiative, la société entend renforcer la confiance et le dialogue avec les communautés riveraines de ses sites d’exploitation. L’entreprise affirme vouloir pérenniser et étendre ce modèle, en lien avec les autorités locales et les acteurs de la santé, pour accompagner durablement le développement des régions concernées.
En misant sur la santé comme pilier de son action RSE, Alpha Centauri Mining souhaite ainsi concilier performance économique et responsabilité sociale, dans le respect des populations et des territoires.
Alpha centauri mining SA fait dans l’extraction de l’or, à Ndjolé, près de Lambaréné, dans le Moyen-Ogooué ainsi que dans la province de l’Ogooué Ivindo. Au cours de ces huit dernières années, elle a créé 1500 emplois directs et indirects pour les gabonais. Actuellement, assurant ainsi une stabilité professionnelle et une contribution durable à l’économie locale.
Betines Makosso