Qui a violé et assassiné la petite Esther Ludivine Moussavou Eyang Mba ?

Un petit moment d’inattention de la part de ses parents et de son entourage a suffi pour coûter la vie à la petite Esther Ludivine Moussavou Eyang Mba, seulement 10 ans, retrouvée sans vie, au niveau des rails du PK12, après avoir été violée par une bande des crapules qui courent encore. La famille venait d’aménager dans les environs, au PK 12. Cruel destin !

Esther Ludivine Moussavou Eyang Mba 

C’est l’émoi, dans la famille et dans tout le quartier, où personne ne redoutait le pire pour cette enfant joviale qui coulait une journée ordinaire de vacances paisibles, avec toute la naïveté qui caractérisent les enfants de son âge mardi ; avant que dans un sursaut de mère protectrice, sa génitrice commence à ne plus remarquer les vas et viens incessants de sa fille et les cris stridents de son ‘’bout de choux’’.   

Il se trouvait hélas qu’Esther Ludivine, de passage au CM2, donc candidate au CEP l’année prochaine, venait d’être kidnappée, sensiblement à la mi-journée, vers 10 heures, par de gens inconnus, sans foi ni loi.

Elle a été entraînée loin de ses repères immédiats, où elle a été retrouvée en soirée, à 20 heures, dans un endroit perdu, une broussaille alentours du PK 12 rails, au milieu des bananiers, laissée inconsciente, presque morte.

Esther Ludivine a été sauvagement violée par ses bourreaux et sérieusement amochée sur ses parties intimes. Le choc au sein la famille, notamment la mère traumatisée, après le constat de décès établi quelques instants plus tard par les services compétents de l’hôpital militaire du PK 9, où elle a été conduite, a-t-on appris des sources familiales.

Des actes d’une telle barbarie devraient rapidement mettre les forces de sécurité, déjà saisies, en alerte pour mettre hors d’état de nuire ces  »psychopathes » et bandits de grand chemin, qui n’en sont sûrement pas à leur premier forfait ; en même temps qu’ils relancent l’appel à la plus grande prudence et vigilance sur les enfants, en ces moments d’incertitude.

Elliott Ana Merveille

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