Mouvement Oligui Nguéma 100%: Œuvrons pour l’avènement du Gabon de nos rêves

Le directoire de MON 100% et les révérends pasteurs durant la séance des prières le 25 mars au palais des sports  de Libreville © Gabonactu.com

Le président du Mouvement Oligui Nguéma 100% (MON 100%), Joël Ngouénéni Ndzéngouma, a, durant une cérémonie d’installation des membres de la Coordination de l’Estuaire à Libreville, appelé le peuple gabonais à voter pour le candidat Brice Clotaire Oligui Nguéma. Le président candidat serait, à ses yeux, le seul candidat rassembleur et bâtisseur, à même de développer le Gabon et de le sortir de la gouvernance approximative qui a longtemps miné le pays.    

« Nous avons besoin de forcer notre destin pour que le Gabon que nous rêvons ait enfin lieu », a lancé M.  Ngouénéni Ndzéngouma, appelant par la suite ses concitoyens à soutenir activement la candidature d’Oligui Nguéma.

Pour lui, il « faut chasser les forces d’inertie » qui ne veulent pas que le Gabon avance pour continuer à mettre à sac ce pays riche mais dont le peuple reste cloitré dans la misère.   

L’événement organisé au palais des sports de Libreville par le MON 100% a mis à contribution les confessions religieuses. Elles ont prié pour le bureau de la plateforme afin qu’il réussisse la campagne qui commence ce 29 mars pour la présidentielle du 12 avril prochain.   

Durant les prières de bénédictions, le révérend pasteur Michel Francis Mbadinga a fait un plaidoyer à l’endroit du candidat Brice Clotaire Oligui Nguéma.  

« Le Gabon a besoin d’un Président qui craint Dieu ; le Gabon a besoin d’un Chef de l’Etat qui est au service de l’Etat et de son peuple et surtout des jeunes qui ont longtemps été sacrifiés dans ce pays. S’il le fait, les faveurs de Dieu seront sur lui, la grâce de Dieu sera sur lui, la réussite de Dieu sera sur lui, les faveurs exceptionnelles de Dieu seront sur lui et Dieu pourvoira à tous les besoins pour qu’il soit le premier dirigeant qui aura transformé le Gabon comme personne avant lui ne l’aura fait », a-t-il plaidé.

Camille Boussoughou

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