Pointée du doigt par la clameur populaire comme l’une des vedettes qui est passée sur la poêle à frire du sulfureux Baltasar Ebang Engonga, l’équato-guinéen au cœur d’un scandale de sextape qui ébranle le petit émirat pétrolier d’Afrique centrale, Creol a décidé de publier sa propre vidéo.
« Les gabonais quand ils auront ma vidéo 🎥 entre les mains 🤣🤣🤣🤣 Ne cherchez plus voici le lien 👇 j’ai peur de vous ? » a écrit la fille de Mackjoss dans un style ironique sur sa page Facebook. La vedette gabonaise de la chanson dont le sexe est le sujet central de sa musique a ainsi partagé le lien de la vidéo suivant :
Creol a en effet séjourné en Guinée Equatoriale. Le petit monde du show biz gabonais a tout de suite reniflé un « tourisme sexuel » pour l’aguichante artiste dont le titre en promotion est « le Ngori », un clip dans lequel elle semble faire croire qu’on ne profite par gratuitement de son charme et de ses généreuses rondeurs. Ngori, un mot d’une langue gabonaise, signifie gratuit.
Une enquête pour scandale financier dans le bureau de Baltasar Ebang Engonga a révélé un autre scandale d’une ampleur inattendue. Le directeur général de l’ANIF décrit aussi comme un puissant homme d’affaires détenait environ 400 vidéos des célébrités, femmes mariées et même une fille du président équato-guinéen, Teodoro Obiang Nguema qui sont passées sur son canapé pour s’envoler.
Chaque scène était filmée et conservée dans l’ordinateur du Don Quichotte tropical. La découverte de ces vidéos ultra chaudes menace la stabilité de ce pays voisin du Gabon et du Cameroun dont des ressortissantes seraient sur la liste des proues de l’obsédé sexuel qui a profité de son argent pour assouvir son insatiable appétit sexuel.
Pour contrôler la situation, l’accès internet déjà réglementé est désormais très restreint au pays de la Ceiba.
Carl Nsitou