Nouveau siège de l’AGP à Port-Gentil : entre modernité et redynamisation

L’Agence gabonaise de presse quitte après plus de 15 ans le gouvernorat de la province de l’Ogooué-Maritime, pour se loger dans les locaux de la station provinciale de Radio Mandji. L’objectif est de permettra à long terme que le personnel ait des meilleures conditions de vie et de travail. 

« Ça rentre dans le cadre de l’amélioration des conditions de travail des agents de l’Agence gabonaise de presse, pour que le travail soit performant. Aujourd’hui nous voyons que c’est un engagement concrétisé », se réjouit Stéphane Nguema Mboro,  rédacteur en chef de l’AGP.

Une initiative impulsée par l’actuel administrateur-directeur général Ghislain Ruffin Etoughet Nzuet, qui lors des journées de réflexion de l’AGP annonçait des grands projets de redynamisation et modernisation des antennes provinciales pour un meilleur traitement de l’information.

Pour Stéphane Nguema Mboro, « l’objectif est de faire en sorte que ce que nous faisons déjà puisse s’améliorer, que le travail soit plus productif, et que les gabonais soient informés de tout ce qui se passe dans le pays ».

D’après l’entreprise en charge des travaux EN.CO.LO BTP, le nouveau bâtiment rempli toutes les conditions permettant un meilleur accueil et un confort optimal.

« À l’intérieur nous avons le secrétariat, des bureaux dont un pour la responsable et des sanitaires qu’on a rénové complément », confirme Ben Mabiala,  responsable de l’entreprise.

La dernière étape selon les responsables de l’Agence gabonaise de presse reste l’immobilier, ainsi que tout l’équipement nécessaire au bon fonctionnement de cet organe de presse du secteur public.

« Le matériel est en chemin, ceci n’est que la première phase du projet », a-t-il rassuré

Lors de la remise officielle des clés à la responsable de l’antenne de Port-Gentil, Patricia Mekui Asseko, le gouverneur de la province de l’Ogooué-Maritime, Paul Ngome Ayong dans sa prise de parole a invité le personnel à faire bon usage de cette structure qui dispense le gouvernement gabonais de toutes dépenses, avant de faire savoir sa satisfaction de la réalisation faite par cette entreprise gabonaise.

 Jean-Jacques Rovaria Djodji

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