Le Collectif  des promoteurs des auto-écoles du Gabon présente ses plates excuses aux responsables du CNEPC

Le président du Collège des promoteurs des auto-écoles du Gabon, Judicaël Moubamba durant sa conférence de presse le 18 juin à Libreville © Gabonactu.com

Le Collectif des promoteurs des auto-écoles du Gabon a dans un communiqué présenté ses plates excuses aux responsables du Centre national d’examen du permis de conduire (CNEPC), pour des propos désobligeants tenus par un de ses membres Yves Ndong Essono, à l’égard de ceux-ci

« Au nom des membres de la corporation, le véritable collectif des promoteurs des auto-écoles du Gabon présente ses excuses aux autorités du Ministère des Transports, en particulier, celles du Centre national d’examen du permis de conduire, pour les propos désobligeants tenus par  monsieur Ndong à leur endroit », s’est excusé Judicaël Moubamba, président du Collectif  des promoteurs des auto-écoles du Gabon.

Promoteur membre du Collectif des promoteurs des auto-écoles du Gabon, Yves Ndong Essono avait dans un point de presse le 17 juin dernier, accusé le CNEPC, d’être défaillant dans le processus de délivrance du permis de conduire au Gabon. Une allégation infondée selon le Collectif des promoteurs des auto-écoles du Gabon qui accuse son adhérent d’être un élément perturbateur et un récalcitrant aux reformes positives menées par les nouvelles autorités du Ministère des Transports.

Pour le Collectif des promoteurs des auto-écoles du Gabon, grâce au management et au pragmatisme militaire du Commandant Oscar Sadibi Mapangou, patron du CNEPC, « les mesures fortes sont prises pour séparer le bon grain de l’ivraie en renforçant le respect de la règlementation en vigueur ». 

Les réformes entreprises par monsieur Sadibi Mapangou, sont, selon ces promotrices salvatrices. Elles ont permis de mettre hors d’état de nuire quelques brebis galeuses. Les promoteurs des auto-écoles du Gabon encouragent ce dernier à poursuivre dans ce sens pour mettre définitivement de côté toutes les forces d’inertie encore  tapis dans l’ombre.

Camille Boussoughou

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