Libreville, capitale politique et administrative du Gabon @ DR
Libreville, Gabon (Gabonactu.com) – Des jeunes proches du pouvoir, regroupés au sein d’une plateforme baptisée : « Stylo rouge » ont fait une déclaration sous forme de lettre ouverte intitulée « coup d’Etat spirituel contre Ali Bongo Ondimba » pour dénoncer selon eux la cabale orchestrée par certaines personnes tapis dans l’ombre contre le président Ali Bongo Ondimba.
Voici l’intégralité de la lettre ouverte.
« Actuellement une cabale est entrain d’être menée contre ce qui reste de la vraie garantie d’Ali Bongo Ondimba. Il n’est pas récurrent de constater, en dépit des anathème jetés contre Mexant Acrombessi, Liban Soulemane entre guillemet, la légion étrangère, aucun document, aucune preuve matérielle depuis 7 ans n’a été faite ou apportée mettant en relief des tripatouillage contre Ali Bongo Ondimba »
« Ces derniers n’ont à aucun moment fomenté des coups contre Ali Bongo Ondimba. Ce qui démontre alors, l’honnêteté de ces derniers à l’endroit du Patron. Oui, on peut entendre légion étrangère ; oui on peut entendre géreur du pays ; oui on peut entendre voleur, tous les noms d’oiseau. Mais à aucun moment, on a entendu Liban Souleman aurait trahit Ali Bongo à tel ou tel autre niveau. A aucun moment, on aurait oui dire que Mexant Acrombessi aurait intenté à son patron à tel ou à tel autre niveau ».
« Aucune preuve matérielle, et d’ailleurs personne n’en parle, c’est donc une preuve de fidélité à l’endroit de leur patron, Ali Bongo Ondimba. Par ailleurs, certains hauts commis de l’Etat, gabonais entre guillemet de souche ont fait la démonstration de la trahison au plus haut niveau ».
« Connaissez-vous Léon Paul Ngoulakia ? Connaissez-vous le groupe appelé Héritage et modernité ? Avez-vous entendu parler de Séraphin Moundounga ? qui était donc à une grande époque, le président de l’assemblée nationale ? Qu’en ai t-il aujourd’hui de monsieur Jean Ping, ancien président de la Commission de l’UA ? N’a-t-il pas acclamé la victoire d’Ali Bongo en 2009 ? Quelle autre preuve voulons nous encore avoir pour comprendre clairement que le mal d’Ali Bongo, c’est d’être d’un groupe de traitres pour certains et qu’il faut s’en méfier de ceux là que l’on peut considérer comme étant la dernière carte. D’où cette alerte : le cri de la fidélité, c’est la confiance ! »
« Aujourd’hui, nous assistons à des arrestations qui sont justifiés car la justice doit faire son travail et tout coupable ou auteur d’un délit doit répondre de ses actes devant la justice. Mais il ne faut pas que quelqu’un profite de cette occasion pour faire encore un énième coup ».
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