Nicole Assélé et Alain Claude Bilie By Nze © Gabonactu.com
Bien malin qui pourrait deviner avec exactitude l’objet de ces messes basses devenues récurrentes, entre Alain-Claude Bilie-By-Nzé et Nicole Assélé, aperçus récemment encore dans un salon feutré de Libreville. L’on sait pour le moins tout le ‘’bien’’ que ces deux barons du régime déchu pensent de la gouvernance du Gabon en période de transition.
Fin mai dernier, le dernier premier ministre d’Ali Bongo Ondimba avait dans une tribune au vitriol, passé par pertes et profits les 158 pages du rapport portant recommandations du Dialogue national inclusif. Pour AC, ainsi qu’aiment à l’appeler ses proches, ce rapport n’était qu’un condensé « des lieux communs et une sérieuse menace pour le vivre-ensemble, un document de synthèse qui n’a rien de cohérent, sans âme et qui constitue un appel intentionnel à l’exclusion et à une chasse aux sorcières », avait asséné l’ancien député du Canton Ntang Louili, près de Makokou (nord-est).
A la suite d’autres sorties médiatiques à charge contre la gouvernance de la transition, l’on sait quelle avait été l’énigmatique réplique teintée des menaces à peine voilée, faite mi-juin à l’ancien premier ministre d’Ali Bongo Ondimba par les autorités de la transition par le biais du Conseiller spécial, porte-parole du président de la transition, Max Olivier Obame.
Si l’on devait les mettre bout à bout avec les dernières prises de parole de Nicole Assélé qui n’étaient nullement de nature à ‘’caresser’’ les autorités de la transition dans le sens du ‘’poil’’, il y fort à parier que ce duo de plus en complice prépare, ensemble ou séparément d’autres épisodes d’une séquence qui devrait donner du piquant à la prochaine rentrée politique. Il semble vraisemblablement être servis par l’actualité.
Qui donc devrait s’en inquiéter ?
Camille Boussoughou
Nul n’est parfait, il n’a pas fait un coup d’état ou lettre de recommandations pour occuper les différents postes, il a mérité, dans sa province il a été toujours bien élu. le gvnment actuel politiquement il n’y a pas quelqu’un qui peut tenir un débat avec lui.