La Fédération des syndicats des professionnels de l’éducation (FESYPE) a clos dimanche, les travaux de son premier conseil national exécutif, organisé 48h durant sous le thème, ‘’L’enseignant d’aujourd’hui qui est-il ? Autrement dit, le syndicaliste d’aujourd’hui qui est-il ? ».
Les travaux de ce premier conseil présidé par le président fondateur de la FESYPE, Jean Noé Ndinga, ont procédé à leur entame, à la désignation et à l’installation de certains responsables du bureau exécutif de la structure syndicale parmi lesquels, le Conseiller stratégique et vice-président de la FESYPE, ainsi que la coordonnatrice générale des femmes et le coordonnateur stratégique de la cellule de crise, etc.
Dans sa mission de défense des intérêts et conditions de vie et de travail des enseignants, des syndicalistes et des apprenants, à travers le tryptique ‘’Défendre – Négocier et Améliorer’’, des motions ont été prononcées au cours de ces travaux, à l’attention de la tutelle ministérielle et plus globalement à l’endroit du gouvernement de la transition et du CTRI.
A travers ces motions, la FESYPE a, par la voix de son président fondateur, marqué son adhésion à la vision de bonne gouvernance imprimée par les autorités de la transition, en tête desquelles le président du CTRI, Brice Clotaire Oligui Nguéma, dont la feuille de route fait une place de choix au dialogue sociale.
« La sérénité retrouvée entre les partenaires du système éducatif, notamment dans la perspective de la prochaine rentrée des classes 2024-2025 et nous incite à traduire en acte, notre adhésion à ce nouveau mode de gestion et de fonctionnement de la république », a soutenu Jean Noé Ndinga.
Le premier conseil national exécutif de la Fédération des syndicats des professionnels de l’éducation a connu la participation des représentants des antennes de la FESYPE dans les neuf (9) provinces du pays.
Alph’-Whilem Eslie
