« Je veux créer un fonds de participation pour tous les gens qui travaillent à SATRAM, ce sont eux qui seront désormais actionnaires » (Dr Moustapha Aziz, PCA de SATRAM)

Le PCA du groupe SATRAM-EGCA, Dr Mustapha Aziz  © D.R
Le Président du conseil d’administration (PCA) de la Société d’acconage et de transport maritime (SATRAM), Dr Mustapha Aziz, a dans une conférence presse organisée en visioconférence déclaré qu’au terme de la procédure de redressement judiciaire à laquelle son entreprise est soumise depuis 2 ans, il mettra en place un fonds de participation permettant à tous les employés de devenir dorénavant des actionnaires à part entière.

« Je veux créer un fonds de participation pour tous les gens qui travaillent à SATRAM, ce sont eux qui seront désormais actionnaires », a déclaré M.  Aziz, indiquant au passage que cette mesure sera pour lui une manière de rendre justice aux personnes qui ont trop souffert pour son entreprise en difficultés de trésorerie depuis 5 ans.
Marmaris excursions Marmaris scuba diving paykwik paykwik al paykwik bozum paykwik fiyatları Мармарис Турецкая Баня Эфес из Мармариса Остров Клеопатры из Мармариса Родос из Мармариса Мармарис Турецкая ночь аренда яхты мармарис на день
Une crise de trésorerie tributaire de la guerre de succession du décès le 9 juin 2015 de Lahcen Jakhoukh, Président fondateur du groupe SATRAM-EGCA.  Tarik Jakhoukh, fils du défunt patron de l’entreprise non content d’avoir été déshérité du vivant de son père s’est lancé dans une bataille judiciaire. Les six décisions de justice rendues au Maroc, en France et au Gabon où la société est représentée, sont en faveur du Dr Mustapha Aziz, patron légitime désigné dans le testament Jakhoukh.
Un testament accolé d’un acte de donation qui selon le Dr Aziz, lègue, « 1/3 de ses parts au peuple gabonais pour la formation de ses jeunes ».  L’entreprise qui sort progressivement de la crise a déjà payé 25 mois sur 29 de redressement.
Une situation qui semble ramener la sérénité malgré une longue grève « illicite » lancée par une centaine d’employés qui seraient instrumentalisés par une main noire pour dit-on freiner la relance économique de SATRAM.
SATRAM compte près de 1000 employés. Une centaine d’entre eux qualifiés de force d’inertie bloqueraient les activités pour des raisons injustifiées.
« Les gens ne travaillent, ils bloquent ceux qui travaillent et demandent à être payés, mais c’est invraisemblable », a-t-il déploré.
Dr Mustapha Aziz a promis solder également dès que possible les droits de tous les travailleurs vivants ou morts pour ramener définitivement la paix à SATRAM.

Sydney IVEMBI

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

error

Vous aimez l'article? Merci de le partager.