« Celle que je suis », un livre autobiographique de la gabonaise Jeanne Libizangomo

L’entrepreneure,  Jeanne Libizangomo encore appelée  : « Jane Libiz », devenue malgré elle écrivaine, grâce à son talent inestimable dans l’écriture, a présenté le 28 septembre à Libreville, son œuvre littéraire, première du genre,  intitulée : « Celle que je suis », un ouvrage mettant en évidence son vécu, jonché  des épreuves de la vie.

L’ouvrage  publié par la maison  d’édition ’Ossiman’’ basée en France, compte 119 pages et  entrecoupé de 5 chapitres.  Dans « Celle que je suis », l’auteure parle de ses origines, des valeurs qui fondent sa vie, sa vie chrétienne et sa vie d’entrepreneure.

« Parler de soi ce n’est pas facile du tout, c’est un exercice difficile que j’ai eu à faire, mais c’est un choix consenti et c’est une décision que j’ai prise personnellement », a fait comprendre Mme Libiz.

Pour Jane Libiz, son livre est un véritable partage des principes de vie. Il raconte également sa tristesse survenue durant  le décès  par la drépanocytose, de sa fillette  de 19 mois, alors qu’elle était âgée de 18 ans.

«J’étais très jeune et ça a été difficile pour moi de traverser cette épreuve», a-t-il souligné, indiquant par la suite que cette phase de sa vie fait d’elle une personne très sensible à la cause de l’enfance. D’ailleurs, les bénéfices de la vente du livre (20 000 FCFA) déjà disponible au Gabon, seront reversés dans certaines maisons d’accueil des enfants en difficultés sociales.

« Celle que je suis », n’a pas non plus occulté, le talent caché de l’auteure, repéré sur sa page Facebook, par la maison d’édition  Ossiman.

L’écrivaine,  Jane Libiz a expliqué avec émotion qu’à travers cette page, « j’ai été localisée par la maison d’édition Ossiman qui est basée en France et tenue par de jeunes talents gabonais et des Français (…), ils ont estimé que j’avais une belle plume et un contenu à partager. Quand ils m’ont contactée, j’étais assez surprise parce que naturellement, je n’ai jamais pensé écrire et je ne savais pas que mes textes avaient autant d’impact ».

Sydney IVEMBI

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

error

Vous aimez l'article? Merci de le partager.