Minerais : Près de 40 jeunes géologues gabonais formés depuis 2021 par ACM

La compagnie minière Alpha Centauri Mining (ACM) en partenariat avec le Pôle national pour l’emploi (PNPE) a ses sites à 39 jeunes géologues gabonais pour des formations pratiques depuis 2021, a appris Gabonactu.com

Cette année, la société a accueilli 13 jeunes géologues ayant fraîchement décrochés leur diplôme d’ingénieur. Ils viennent d’intégrer un programme pratique sur le terrain, encadré par des experts d’ACM dans ses zones d’exploration. 

L’objectif de ce programme est de permettre aux nouveaux professionnels d’acquérir des compétences techniques directement alignées sur les réalités de l’industrie minière.

Ce projet structurant s’inscrit dans la volonté d’ACM de favoriser la montée en compétence des talents locaux et d’accompagner la professionnalisation du secteur minier gabonais.

« Miser sur la jeunesse et le savoir-faire local, c’est investir durablement dans le développement du pays », estime ACM.

Le programme a déjà permis d’intégrer une partie des jeunes formés au sein même des équipes d’Alpha Centauri Mining.

Fondée en 2026, la société Alpha centauri mining est au départ une société minière aurifère de premier plan au Gabon. Elle est spécialisée dans l’extraction et l’exploration d’or. Elle a démarré ses activités minières en 2018 et a connu une croissance rapide, passant de 12 employés à environ 500 aujourd’hui.

Fin 2022, la société a étendu ses activités à l’exploration du manganèse et du fer, en plus de l’or.

Betines Makosso

One thought on “Minerais : Près de 40 jeunes géologues gabonais formés depuis 2021 par ACM

  1. Bonjour,

    Peut-être, un hors-sujet, j’espère que non, il s’agit d’un article relatif à l’économie sociale de notre pays, le Gabon, auquel, je voudrais réagir par ce thème en hyper actualité…
    Voici donc ce qu’il renferme, en substance.

    Au cas où, le manganèse est un cadeau de Dieu au Gabon, à répartir équitablement, et peu perçu en manne céleste par les autochtones, trop clivants!

    Menteurs, ceux qui ne le reconnaissent pas, en Lébombi-Léyou, et au Gabon, les joutes électorales, ne sont pas, seulement, des appels à aller rivaliser de savoir-faire, ou d’adresse à drainer des partisans et partisanes pour les rallier à sa cause. Ils sont, au-delà de toute apparence électoraliste, une guerre ouverte où, les armes utilisées ne sont pas pour se faire des cadeaux; en revanche, pour tuer le rival sur son chemin, bien qu’ils soient nombreux des proches par la famille, le clan, la tribu ou la ville natale.

    Un génocide, en complot, au cas où, les armes sont de destruction massive, à cause des retombées par famille, clan, tribu ou ville natale où, les proies ne sont pas, seulement, les rivaux aux fonctions électorales; mais aussi, toute personne qui n’est pas partisane ou ne veut pas marcher pour une cause injustifiée.

    Tu peux voir là, ce que sont les gabonais, en particulier les Bawandjis, des damnés, à cause d’une parole et raison spirituelles perdues, depuis qu’ils ne veulent pas la répartition équitable et responsable des fruits du minerai ou de la manne céleste donnée par le créateur de l’univers. En la Bible, le verset dit:
    -quand tu vas semer, et moissonne, prélève le nécessaire, et laisse-en un peu pour l’étranger de passage et les animaux des champs !

    Une interrogation se pose, alors: lequel a semé le manganèse; au cas où, on peut le moissonner…?

    Réponse possible: le créateur de l’univers, en exode, au désert, où les israéliens sortirent et se libérèrent de la servitude de pharaon; trop accablés de soif, de faim, épuisés, le créateur de l’univers eut la compassion de son peuple, et envoya sur terre où, se trouve celui-ci de la viande et du pain depuis le ciel.

    Est une hypothèse ou thèse possible de la genèse du manganèse sur la terre; les professionnels de chimie, biologie, géologie peuvent en soutenir la pensée; il est certain, en étudiant, examinant, du manganite qu’elle renferme des éléments biologiques en céréale, espèce de blé présent dans le pain complet; et puis des protéines végétales, très riches en acides gras pour nourrir des gens épuisés, souffrants, assoiffés ou convalescents.

    Cette thèse bat en brèche et renverse celle selon laquelle: le manganèse de Moanda, au Gabon est toxique, pollueur ou dangereux pour les populations environnantes. Au cas où, il est un cadeau de Dieu, le créateur de l’univers, conscience suprême, pour avoir fabriqué l’homme mesure de toute chose, l’a préparé à endurer et tenir toutes les difficultés ou problématiques liées à une coexistence dans le cosmos.

    Cet être omniscient se serait-il trompé; aurait-il oublié les retombées de son cadeau aux hommes, à long terme; a-t-il donné un cadeau empoisonné aux humains; l’aurait-il prévu pour une tranche de vivants: des épuisés, des convalescents, des assoiffés, ceux qui auraient faim; a-t-il fixé un ultimatum au cours duquel s’en servir et puis le laisser aux étrangers de passage et aux animaux; à cause des irrespectueux et irresponsables des principes environnementaux.
    Au cas où !

    N’y en-a-t-il pas, à Moanda, au Gabon, ces tranches d’hommes là, où, on recense de nombreux en servitude et oppression, à cause de leurs opinions. Au cas où, à Moanda, au Gabon, le créateur, auteur du manganèse a crié:
    – trop, c’est trop, y en a marre !

    Ainsi, la véritable guerre n’est pas celle des sièges électoralistes; mais celle
    de reposer sur les tables d’examen et étude les principes par lesquels à Moanda,
    au Gabon, se trouve un minerai phénoménal, les professionnels de géologie
    attestent qu’:

    il peut se régénérer en un système plus que curieux dont les sciences chimiques, biologiques ou géologiques n’en ont pas d’explication rationnelle; peut-être, paranormallement ou surnaturellement!

    On voit là, une thèse scientifique de la genèse du manganèse; manganite,
    au commencement de la découverte par un prospecteur-explorateur, vers les
    années 1940.

    Paranormal ou surnaturel sont des domaines dont la science affectionne les
    principes relatifs au spirituel des biblistes, et pas en opposition, au cas où, ils
    reconnaissent la ferme assurance des choses espérées; la démonstration des
    choses futures. Au cas où, la thèse de LAVOISIER est:
    – rien ne se perd, tout se transforme !

    Plus que possible qu’il en est le cas de la nourriture: viande et pain envoyés
    du ciel aux israéliens en exode, au contact du silicium, de la chaleur et du
    souffle hyperpuissant d’un point géographique particulier, territoire situé de
    l’Egypte en Israel, un sol béni; se sont transformés sur terre en manganite,
    au long des années par des phénomènes chimiobiogéologiques étudiés dans
    les laboratoires de recherches scientifiques.

    Au cas où, les Bawandjis, aussi, furent des esclaves libérés de la servitude
    pharaonique; appelés à aller adorer, prier l’Eternel, se sont laisser corrompre
    par argent et or prélevés aux Égyptiens, en élevant le Veau d’or, répugnèrent
    l’auteur de la manganite, celui-ci le transforma en manganèse pour leur
    rendre la tâche difficile, à cause et surtout de leurs nombreux péchés.

    Les péchés séparent de Dieu, dit la Bible; et donc de l’auteur des cadeaux de
    l’univers; les Bawandjis sont des pécheurs, nombreux ne sont pas repentis,
    et le caillou blanc qu’ils auraient mangé en nourriture du ciel, à l’époque, est
    devenu noir qu’il nécessite une préparation dans les fours métallurgiques;
    les mains impures les ont corrompus, depuis l’extraction dans les plateaux en amont de la vallée de Bangombé, à Moanda, Gabon.

    Thèse possible: les israéliens, envoyés prélever argent et or aux Egyptiens, n’ont pas voulu les ramener à Aaron, Moise, Josué ou Caleb pour se justifier, le retiennent au mépris des hiérarques élevés par leur Dieu, l’Eternel. En ont fait des caillous noirs; alors appelés au blanchissement dans le tabernacle où, se trouve l’ange gardien de l’Eternel.

    A Moanda, Haut-Ogooué, Gabon, un cas, un peu identique, un grand volume de manganite, oups, de manganèse, puisqu’il n’est plus un caillou blanc; est lavé, transformé en métal par des usines de dernière génération technologique où, l’encadrement en savoirs-faire est certifié par des occidentaux, des blancs.

    Il s’agit d’imiter ou essayer le blanchiment du caillou devenu noir à cause de la rébellion aux heures difficiles de leur procession ou mutation, de campements, en villages, d’arrondissements en ville cosmopolite.

    Se rebeller contre un donneur de cadeaux; alors là, il faut être Bawandji et maudit depuis des générations, maintenant, appelé à se repentir, retourner à ses premières oeuvres et s’attacher au Seigneur de gloire éternelle.
    Le veut-il, ce Bawandji, rébelle, maudit, à cause de sa jalousie en vers
    son frère, favori du Seigneur; à l’endroit de celui qu’ils et elles appellent Etranger; au nez des animaux des champs, trop tués pour leur chair, et ne pas leur en laisser des fruits de la manganite, le caillou blanc béni du ciel.

    Au cas où, les Bawandji sont des Cains, ils vivent et survivent par la jalousie d’autrui, celui qu’ils n’ont plus l’humanité d’appeler, nommer, reconnaitre ou écrire; bien qu’ils fréquentent de soient dites Eglises!

    Indifférence à leurs frères, aux étrangers de passage, aux animaux des champs, aux villes ou cités, qu’ils attristent l’Eternel qui va rendre plus difficile l’exploitattion du manganèse d’ici à 2029, année fixée par le chef des Bâtisseurs pour ne plus exporter le minerai du Gabon; sans blanchiment ni justification par les gens envoyés le prélever au sol.

    Pourquoi des mécontents aux élections, comme s’il s’agit d’un patrimoine ou héritage de clan, tribu, famille ou maison cambriolé ou volé par des bandits inconnus. Ahurissant qu’ils s’appellent Bawandjis, ces maudits là, les véritables y sont très peu; nombreux sont nés par les alliances nuptiales coutumières, et se revendiquent de leur maternelle, alors, donc pas des dignes fils et filles de Moanda, ces apatrides.

    Moanda est en premier aux gens nés sur son sol, Gabonais par droit solis, allogènes ou autochtones; un lien inconscient, sournois, au repos, endormi, somnambule ou instable existe avec ses fils et filles, natifs et natives. L’heure a, peut-être, sonné où, les recenser, les répertorier, les utiliser responsablement; sans frustration des Moise, Aaron, Josué, Caleb, Miryam ou Joseph, bénis de l’Eternel, un verset dit, en la Bible:
    – n’attristez pas l’Esprit de Dieu!

    Évidemment, il faut commencer par y croire; et on va voir où, tu te revendique d’Abraham et Sarah, Ismaël, Isaac; de quel père des croyants es-tu. Au cas où, au Gabon, les Bawandjis ont trop attristé l’Esprit de Dieu qu’ils l’ont chassé, trop loin qu’il n’entend pas leurs appels depuis les Eglises saturées de pasteurs bandits ou menteurs. Au cas où, l’heure a sonné d’élever par soi-même et pour soi une Eglise ethnique ou linguistique où, on ne parlerait qu’en termes Bawandjis; pas de tribu ou clan, ces facteurs là, sont difficiles aux peaux noires, masques blancs!

    Au cas où, il n’est pas possible d’y élever, les Églises où, seul le facteur Bawandjis prédomine; alors, il ne rime pas d’appeler les gens à aller aux élections par tribu ou clan, famille ou maison. Tu peux donc te déterminer, au cas où, tu es un homme-clef; une pièce-maitresse; rappelle-le aux spectateurs de ton Cirque électoraliste; où se trouve ta place dans la maison de ton Père, toi, fils prodige ou fils prodigue; quelles sont tes fonctions capitales à remplir ou remplies?

    Commençons par nous dire les principales tribus et leurs fonctions respectives, au Gabon, comme en Israel; cela épargnerait des confusions et guerres des trones injustifiées! En Occident, les Blancs le font, ils connaissent leurs tribus, ne se succèdent pas en désordre aux fonctions principales, trop prestigieuses, honorables, sacrées, à respecter en toute responsabilité, et le Seigneur les bénis. Il n’y a pas, à Moanda, Gabon, suffisemment de Bawandjis bénis par Dieu; trop peu pour se ranger en binome ou en mode Josué et Caleb; cet État d’impairs cause un déséquilibre démographique ou prophétique, en ces temps de grandes réunion ethnique ou linguistique où, les professionnels de flirts sont appelés nombreux à essayer des coups de langues ou des cours de linguistique aux Facultés atrophiées par des années de pensée unique et oppression au Gabon.

    Au cas où, on recommence à parler le Bawandji, pour s’appeler, comme par exemple:
    – you wê !

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