Le président de la plateforme associative intergénérationnelle, le Mouvement Générations du Progrès (GP), Louis Junior Clemenceau Owanga, a, dans une déclaration solennelle, présenté, en prélude aux élections locales de septembre 2025, le groupe des colistiers dont il et tête de liste baptisée : « Coalition Akanda pour le Progrès », une coalition indépendante déterminée à conquérir la municipalité de cette commune en plein essor, située dans le nord de Libreville.
« Après mure réflexion et avoir demandé à mon Dieu, de me parler, me guider, je vous annonce ce 12 juillet 2025, que je suis candidat tête de liste à l’élection locale du 27 septembre prochain, pour le compte de la Coalition indepndante dans le 2e arrondissement de notre circonscription », a déclaré M. Clemenceau Owanga.
Louis Junior Clemenceau Owanga, n’est pas un inconnu dans la sphère politique du cru. Il a toujours sans discontinuer été depuis 12 ans conseiller municipal dans le 2e arrondissement d’Akanda où il assure présentement les fonctions de Délégué spécial adjoint.
La tête de liste aux locales 2025 de la coalition indépendante « Coalition Akanda pour le Progrès » Louis Junior Clemenceau Owanga © D.R
Loin des partis politiques, cette coalition indépendante est composée de toutes les forces vives d’Akanda. Une fois élue, elle veut faire de cette agglomération une ville d’attractivité économique et de la préservation de l’environnement.
Akanda pour le Progrès dit disposer d’un progrès municipal ambitieux et réaliste, qui s’articule autour de 12 piliers sectoriels et 64 actions concrètes et stratégiques pour changer le quotidien et contribuer à l’épanouissement des Akandais.
Durant sa déclaration, Louis Junior Clemenceau Owanga n’a pas manqué de dénoncer avec véhémence le comportement ignoble de certaines mains noires qui veulent saboter le projet pour des raisons inavouées.
« Il nous revient avec insistance que des manœuvres politiques vicieuses de certaines écuries politiques viseraient à empêcher notre démarche libre, pensée et transparente. Nous mettons ces acteurs en garde, sur les conséquences politiques dont ils ne mesurent peut-être pas encore la gravité, car il ne semble pas intégrer que le Gabon a changé et que notre pays n’est la propriété de personne », a-t-il prévenu.
Camille Boussoughou
