Le Président de la Commission de la CEEAC, l’angolais Gilberto Da Piedade Verissimo a annoncé au gouvernement gabonais par une note verbale qu’il a été victime d’une attaque perpétrée à son domicile du Haut de Gué-gué par 5 individus armés.
L’attaque s’est produite le mercredi 17 janvier 2024 à 9h30 du matin. « Un groupe de cinq individus armés est entré par effraction à sa résidence officielle au quartier haut de Gue-gué dans le premier arrondissement de Libreville », précise un communiqué du ministère gabonais de l’Intérieur et de la Sécurité.
Le président Gilberto Da Piedade Verissimo a notifié cette agression aux autorités gabonaises le jeudi 18 janvier par note verbale.
Le gouvernement gabonais affirme avoir « promptement » déché sur place des policiers « aux fins de procéder aux constatations usuelles ».
Libreville a ouvert une enquête et le gouvernement dit rester « saisi et suit avec grande attention, le déroulement de ma procédure ».
Une brouille diplomatique oppose actuellement l’Angola au Gabon. Luanda tire sur la corde raide au sujet des sanctions communautaires infligées à Libreville suite au coup d’Etat du 30 août dernier. Les autorités militaires en poste à Libreville plaident leur bonne foi et ont annoncé un chronogramme de la transition qui ne dépassera pas 2 ans comme souhaité par la communauté internationale.
Luanda a plaidé lors du dernier sommet de la CEEAC en Guinée Equatoriale le 15 décembre dernier en faveur de la délocalisation provisoire du siège de l’institution vers Malabo en Guinée Equatoriale. Les autres dirigeants de la région ont rejeté cette proposition tout en maintenant les sanctions contre le Gabon.
Dans la foulée du sommet de Jiboloho (Guinée Equatoriale) le Gabon a rappelé son ambassadeur en poste à Luanda pour consultation.
Carl Nsitou
Attention, attention et attention, olingui et ses milices fangs REPRÉSENTENT UN GROS RISQUE pour le Gabon, les petits militaires fatigués à cause d’alcool PEUVENT CONTENIR L’ARME Anglolaise? L’Angola doit envoyer quelques agents de la police judiciaire angolaise pour accompagner l’enquête les criminels peuvent être les policiers et militaires gabonais mandater par les proches d’olingui et dans ce groupe il ya des fangs, depuis le coup d’état on voit comment les fangs se comportent un tel criminel les ne sont épargnés.