Axe Oyem- Medzeng près de Guinée Équatoriale : Oligui Nguema lance les travaux d’aménagement le 15 décembre 2023

La fin de l’axe Oyem Medzeng, non bitume débouche en direction de la belle ville de Mogomo en Guinée Équatoriale © D.R

Le Président de la République gabonaise, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, est attendu le 15 décembre 2023 à Oyem, capitale provinciale du Woleu Ntem (nord du pays) pour lancer les travaux d’aménagement de l’axe Oyem Medzeng, dernier village gabonais frontalier de la Guinée Équatoriale par la ville de Mogomo.   

« Il ne vient pas les mains vides, il vient avec un très grand projet, le bitumage de la route Medzeng-Oyem, c‘est un très grand projet fédérateur », a annoncé Bertrand Zibi Abeghe, émissaire du Chef de l’Etat, ayant pour mission de mobiliser les populations de tous les cinq (05) départements de la province pour réserver un accueil chaleureux à l’illustre personnalité, qui est par ailleurs fils de cette province par son père.

Long de 37 KM, le tronçon Oyem- Medzeng, permettra de relier le Gabon et la Guinée Equatoriale par la ville de Mogomo, village natal du Président équatoguinéen, Theodoro Obiang Nguema Mbazogo.

Le séjour du numéro un gabonais, sera à mis à profit pour, selon notre confrère TV Plus Afrique qui a relayé l’information, lancer également « les travaux d’aménagement des voiries de toute la commune d’Oyem ».

« Comme vous le savez, les routes d’Oyem ont été bitumées en 1978 et là il vient donner un coup de fouet ; et cela non seulement va embellir notre ville mais va créer de l’emploi et les PME locales seront prioritaires dans la sous-traitance », a fait comprendre aux populations, le 1er questeur du Conseil économique, social et environnemental (CESE).

Camille Boussoughou

16 thoughts on “Axe Oyem- Medzeng près de Guinée Équatoriale : Oligui Nguema lance les travaux d’aménagement le 15 décembre 2023

  1. On a pensé qu’à celle-ci! On a oublié les populations du Haut Ogooué Ogooué Lolo qui peinent à ralier ces provinces en voiture? On a oublié les populations de la Nyanga qui peinent à ralier la ville de Tchibanga à cause d’à peine 30km de route non bitumée. Et que dire des populations de Makokou pour ne parler que de celles-ci

    1. Donc ça te fait plaisir quand depuis la Guinée on voit notre côté de la frontière non bitumée sachant que nous avons découvert le pétrole avant eux ? Surtout qu’il s’agit de la route économique par laquelle la plupart de personnes biens et services étrangers ? Même si il faut critiquer, même la aussi ? Rien que ce tronçon fait de nous la risée des équatos!!!!

      1. Mon frère Essono il y a des posts qu’on ne répond pas. Ce genre de personne souffrent d’une cécité dans précédent. Il ne voit rien et ne comprend rien. Laisse le dans sa critique qui n’a pas sens.

    2. Je constate que le règne des bongo a eu un effet néfaste sur la psychologie des gabonais. Ce genre de réflexion ne doit en aucun cas contourner les principes de cette transition. Hier, tout partait dans le Haut-Ogooué, et c’était normal pour tout le monde. Il faut arrêter. Les choses se feront progressivement et par ordre de priorité.

    3. À chacun son tour. Soyons des patriotes chrétiens. Après viendra la frontière Congo Gabon. Nous allons » juger le maçon au pied du mur ».

    4. Ne faisons pas dans l’amertume du coeur. Qui vous dit que ces axes que vous avez cités ne sont pas en projet ? C’est pour dire quoi ? Comme c’est le woleu- Ntem,… n’importe quoi ! Laissons le président travailler, lui il a de la volonté. Quant aux agents du mal, allez dans les abîmes. Allez loin dans les ténèbres avec votre esprit de division.

      1. Très bien parlé M. Mec, le Gabon est un et indivisible. Sortons des mentalités de l’ancien système : Divisé pour mieux régner !

  2. La patience est un vertu les étapes se suivent pas d’arrière pensé la frontière Gabon Guinée équatoriale est une route économique qui Pour moi est prioritaire

  3. Après les tournées dans les pays de la CEMAC, on prépare la tournée inter provinciale gabonaise chacune avec un programme claire de ce qui doit être fait dans un temps bien déterminé et surveiller par les fils de chaque province.
    Préparons nos doléances provinciales et accompagnons les militaires dans leur lancé.

  4. Mon très cher ami,pendant les 56ans de règne des Bongo-PDG,pourquoi toutes ces routes n’ont pas été faites?Pendant que les routes du Woleu-Ntem en particulier celles d’oyem n’ont jamais été refaites depuis 1978,ce qui fait 45ans aujourd’hui,arrêtons avec cet esprit régionaliste,quand on fait dans une contré,c’est pour le bien de tous les Gabonais car toujours le Gabon,il faut aller dans le Woleu-Ntem pour savoir qu’il n’y a pas que le haut-ogooué,ogooué lolo ou ailleurs,3mois du CTRI qui doit traiter tous les problèmes du pays et de toutes les populations avec impartialité et souhaitions un réel changement dans tout le Gabon,alors n’exagérons pas et luttons tous contre cette mentalité appauvrissante inculquée par un système de division qui a détruit le Gabon et les Gabonais.
    Vive le Gabon nouveau 🇬🇦🇬🇦🇬🇦🙏

  5. On trouvera toujours quelque chose à redire. La patience ça ne vous évoque rien? Si il commençait par l’axe lastourville koulamoutou… vous auriez parlé de l’axe oyem Medzeng.
    Plus de 40ans à endurer un régime d’oppression et là, incapable de laisser du temps au temps pour la réhabilitation de notre pays. 40 années de dommage ne se répare pas en 4mois.

  6. Félicitations au CTRI. Ça fait honte Lorsque tu prends toutes les petites villes limitrophes à la Guinée Équatoriale. Lorsque tu pars du Gabon pour la Guinée, tu es bourré de poussière. A la limite les policiers savent déjà que tu reviens de Gaboneses comme ils prononcent. Par Medouneu ils ont mis une bille de bois pour que n´entres pas avec ton véhicule.

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