Le Festival K’Elle pour Elle a ouvert ses bras au public le 25 novembre dernier au Nomad par un diner de gala puis du 26 au 27 des expositions ventes a l’hôtel Onomo sis à la sablière (nord de Libreville).
Cette 3ème a été organisée sous le sceau de la solidarité féminine puisqu’une partie des fonds récoltée sera reversée en soutien à des jeunes filles déscolarisées.
« L’intérêt pour moi en cette 3ème est d’offrir à ces jeunes femmes une opportunité. Si la première édition était un challenge, celle-ci c’est lors du covid que j’ai eu le déclic, j’ai compris qu’on est appelé à partir a tout moment, la vie étant précieuse, il faut chercher à laisser une trace », a confié Binette Bah Lendoye, présidente de l’association K’Elle pour Elle.
Cet événement caritatif qui avait un seul but soutenir des jeunes filles déscolarisées en leur offrant des bourses, a connu un franc succès malgré quelques imperfections.
« La particularité de cette année ce sont les entreprises qui nous ont accompagnées, comme une maison de téléphonie mobile qui a décidé de soutenir 10 bachelières et les insérer dans le milieu professionnel », a renchéri Charlayn Medza, chargée de la communication de l’association.
Ledit festival a eu aussi le privilège d’avoir comme Guest le serial entrepreneur ivoirienne
Ema Lohoues de son vrai nom : « Yedmeli Lohoues Jesus Emmanuella » qui a apporté un cachet particulier en s’entrainant avec les jeunes demoiselles sélectionnées autour d’un échange franc, sincère et bienveillant.
Ayant vu la participation d’exposants nationaux et internationaux, Claudia Adjoua de la Cote d’Ivoire n’a pas manqué de venir à cette édition, la Chef d’entreprise d’Eloheeka, qui fait dans les produits bio a indiqué que« mes produits sont disponible ici a libreville deouis 2 ans, mais comme les clientes ont toujours voulu mettre un visage sur le produit quand l’occasion s’est présenté j’ai sauté dessus».
Irina Coretta Abang Obame
