Ulrich Eric Ghislain Mabiala, gabonais âgé de 48 ans, a été froidement assassiné au couteau le 18 juillet dernier au quartier Saint Georges non loin de l’échangeur de Nzeng Ayong par des braqueurs qui lui ont arraché son propre téléphone, rapporte la famille si durement éplorée.
Le drame s’est produit entre 20 heures 08 et 20 heures 10. La victime avait rendez-vous avec son frère auprès de qui il devait récupérer des médicaments pour sa mère. Elle envoie un message whatsapp à son frère pour signaler qu’il est déjà au lieu du rendez vous, précisément à l’arrêt des taxis après l’échangeur de Nzeng Ayong en partant dans le sens de l’aéroport vers Awendje. Il est 20h08. Deux minutes plus tard, le frère répond pour lui demander de patienter quelques minutes. Mais le frère n’ouvre pas le message. Celui-ci décide finalement de l’appeler sans réponse. Le téléphone est fermé.
Il appelle alors sa maman qui lui annonce que son frère a été violemment poignardé et abandonné sur la chaussée gisant dans une mare de sang. Des passants le retrouvent mourant. Il leur demande de le conduire d’urgence à l’hôpital militaire.
Les images sont horribles. Il a eu un couteau planté à la poitrine. Quasiment dans le cœur. Le couteau est resté planté sur sa clavicule. Il a été arraché de force à l’hôpital militaire où il a été conduit d’urgence et a rendu l’âme un jour plus tard.
Ses agresseurs ont juste pris son téléphone. Une plainte contre x a été déposée à la Police judiciaire (PJ).
Ulrich Eric Ghislain Mabiala entrepreneur installé à son propre compte allonge la longue liste des victimes de braqueurs de la capitale gabonaise.
La criminalité a doublé d’intensité à Libreville où les braqueurs opèrent désormais à visage découvert de jour comme de nuit sans réellement être inquiétés.
Antoine Relaxe
Comme comprendre autant des crimes mais nos politiciens de tout bord ne font rien .dans les pays sérieux comme Singapour .la Chine les caméras aident au Gabon les faux opposants vont dire que les caméras seraient pour nous surveiller. Et les peines pour les criminels sont trop faibles.
Que nos unités de force de l’ordre arrêtent les coupables pour honorer le défunt et sa famille qui éprouve une grande douleur en ce moment j’ai foi à nos unités judiciaire comme la BAC
Les peines sont trop faibles avant c’était bon tu tues volontairement le peleton d’exécution est après toi quelques mois après le Gabon était calme à cette époque la aujourd’hui tuer un homme devient un fantasme , un luxe Pour un bagando