Le SG du PDG Éric Dodo Bounguendza réceptionnant symboliquement la donation des masques des mains des mains de son adjoint chargée de l’UFPDG Chantal Mebaley Abendang le 7 juillet à Libreville © Com PDG
La Secrétaire générale adjoint en charge de l’’Union des femmes du Parti démocratique gabonais (UFPDG), Chantal Mebaley Abendang, a offert 10 000 masques recyclables dédiés aux militants, au Secrétaire général de ce parti au pouvoir, Éric Dodo Bounguendza.
Les masques dits alternatifs de protection contre le Coronavirus (Covid-19), associés à d’autres bavettes en production dans l’atelier de la formation politique, seront distribués progressivement dans les fédérations et structures de base du parti disséminées dans l’ensemble du pays.
« Cette pandémie que nous ne maitrisons pas et que seul Dieu maitrise, nous oblige à faire en sorte que l’UFPDG, cette force vive du parti poursuivre, au-delà des actions classiques et stratégiques que vous devriez mettre en place dans les jours avenir, vous devez poursuivre cette action », a instruit M. Bounguendza.
Pour le patron administratif du PDG, l’initiative vise à soutenir les efforts déjà déployés par le « Distingué camarade Pdu PDG », Ali Bongo Ondimba, Président de la République dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre l’épidémie à Coronavirus au Gabon.
Le poste du masque constitue une mesure barrière efficace, indique-t-on, pour lutter contre le Cvoid-19, qui a déjà occasionné au dernier bilan 5743 personnes contaminées dont 2574 guérisons et 46 décès.
Le PDG, « parti humaniste et patriotique », a globalement lancé, par le biais de sa filière couture du centre d’apprentissage UFPDG, la confection de 20 000 masques alternatifs, conformément à la norme NGA 2000 élaborée par l’Agence Gabonaise de Normalisation (AGANOR).
L’UFPDG a par ailleurs offert ce mardi, 10 000 autres à la Mairie de Libreville, pour distribution aux femmes commerçantes, sans distinction d’appartenance politique, dans les six arrondissements que compte la Commune de Libreville, d’Owendo et d’Akanda.
Antoine Relaxe