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Libreville, 26 octobre (Gabonactu.com) – Ghislaine Apanga, déléguée par le ministère du Budget et des Comptes publics se trouve à Franceville depuis jeudi pour une session de validation des projets proposés par les 11 départements du Haut-Ogooué, dans le cadre du Fonds d’initiative départementale.
Selon Mme Apanga, seuls les projets relatifs au développement des localités, susceptibles de créer des emplois et de freiner l’exode rural, tels que l’agriculture, le tourisme, la pisciculture, entre autres, sont éligibles au Fonds d’initiative départementale (FID)», a expliqué Mme Ghislaine Apanga, représentant la Direction générale du budget et des Finances publiques (DGBFIP).
Un à un, les projets présentés par chacun des 11 départements du Haut-Ogooué seront épluchés. Les prioritaires seront retenus, affirme-t-on.
La bonne nouvelle pourrait être la promesse de l’exécution sous trentaine (d’ici au 30 novembre de l’année en cours) d’au moins un projet par département.
« Les projets qui ne pourraient pas être pris en compte par le FID, seront orientés vers d’autres canaux de financement. C’est le cas de l’hydraulique villageoise, qui existe déjà dans un programme financé par la Banque Mondiale », a indiqué Ghislaine Apanga.
L’ouverture des travaux a été placée sous les auspices du préfet du département de la Passa en lieu et place du gouverneur de province, Eloi Nzondo, empêché.
Pour Barnabé Mbangalivoua, un accent devra être mis sur quatre départements de la province considérés comme des « enfants négligés » ; à savoir la Djoué (Onga), Boumango (Ogooué Létili), Aboumi (Bayi-Brikolo) et Bakoumba (Lékoko).
La réhabilitation des routes, des bâtiments administratifs, de l’éducation et des structures sanitaires seraient bel et bien des priorités.
Précieux Koumba
