Fin d’année époustouflante pour Henri Claude Oyima, président de la Fédération des Entreprises du Gabon (FEG). Après le ministre du Budget, le PDG du groupe BGFIbank et le directoire de la FEEG s’est rendu mercredi au cabinet du Ministre de l’Economie et de la Relance, Nicole Jeanine Lydie Roboty épouse Mbou.
Au cabinet du ministre, les patrons de la FEG sont venus faire le point des travaux de leur fédération au Ministre. Deux principales problématiques ont été abordées, à savoir la parafiscalité et la relance de l’économie.
Pour le patronat gabonais, la parafiscalité gêne les entreprises dans leur dynamique de croissance. Il estime que toutes les taxes nécessaires qui sont prélevées au Gabon doivent être reversées au niveau du trésor public. Et si ce n’est pas le cas, elles devraient donc être supprimées.
S’agissant de la relance de l’économie, la FEG soutient que celle-ci passe par le règlement de la dette intérieure. Cela donnera de la lisibilité et de la visibilité aux entreprises afin qu’elles puissent consolider leurs socles, et donc de relancer de l’économie. La mise en place d’un nouveau Club de Libreville devient de ce fait une nécessité.
Très attentive aux solutions préconisées par les responsables de la FEG, le Ministre a réaffirmé son appui au secteur privé, car il représente un moteur de croissance économique et de création d’emplois. Il y a une convergence de visions entre l’Etat gabonais et la FEG et des belles perspectives de partenariat public-privé. Le gouvernement collaborera toujours avec la FEG dans l’optique de contribuer efficacement au développement de l’économie nationale.
Antoine Relance