Le doyen de la faculté des lettres et sciences humaines (FLSH), Monique Mavoungou Bouyou, a récemment publié une note qui interdit l’habillement vulgaire dans le campus de l’Université Omar Bongo (UOB) de Libreville.
« L’Université est le temple du savoir et de la morale. C’est vrai que c’est la faculté, on n’est libre mais il y a un type d’habillement que l’on ne peut pas tolérer au sein de l’université » a affirmé le docteur Maixent Moustinga enseignant en faculté des lettres.
« Ce sont des robes transparentes, des jupes transparentes et des pantalons destroyer qui a la limite montrent même les sous-vêtements, c’est inacceptable », décrit-t-il.
La note du doyen permet à un enseignant de refuser l’entrée en classe à un étudiant ou une étudiante qu’il estime être presque dénudé.
Une entrave à la liberté, dénoncent certains étudiants qui pointent une manière de distraire le monde universitaire pour faire oublier les vrais problèmes des étudiants.
Eudes Rinaldi