Législatives au 3e arrondissement de Franceville : le candidat  Mavie Abouna invite ses potentiels électeurs à vaincre les hésitations

Le candidat aux élections législatives 2025 au 3e arrondissement de Franceville, Mavie Abouna et Victoire Amogho, tête de liste aux locales à l’ouverture de la campagne le 18 septembre à Franceville © D.R

Le candidat aux élections législatives 2025 au 3e arrondissement de Franceville, Mavie Abouna, investi par le Parti démocratique gabonais (PDG, ancien parti au pouvoir) en alliance avec l’Union démocratique des bâtisseurs (UDB, parti au pouvoir), a, durant son meeting d’ouverture de campagne appelé ses potentiels électeurs à voter sans hésitations pour sa candidature, laquelle reflète un exemple de cohérence politique.  

« Je vous invite durant la campagne à mettre de côté, les divisions, les rancunes et les hésitations, le moment est venu de nous rassembler comme un seul homme derrière le Parti démocratique gabonais, derrière notre projet commun, celui de bâtir le Gabon nouveau avec son excellence Brice Clotaire Oligui Nguema, Président de la République, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement », a lancé M. Abouna.  

Pour lui, le 3e arrondissement doit être un modèle « d’unité, de développement et de dignité politique » avec la coalition PDG-UDB pour les élections législatives dont le premier tour est prévu le 27 septembre prochain.  

Ancien Maire du 3eme Arrondissement (2018 – 2023), Mavie Abouna qui a pour suppliant Yannick Sendze de l’UDB, veut être député avec comme objectif assigné, défendre  à l’Assemblée nationale,  l’effectivité de la loi sur la décentralisation qui devra contribuer au développement des collectivités locales.

« Cette campagne ne sera pas une campagne de grande promesses irréalisables, elle sera celle des engagements concrets pour des solutions adaptées à notre réalité locale. Ensemble nous devons redynamiser l’économie locale et valoriser les initiatives des jeunes et des femmes », a-t-il exhorté, en présence de la candidate, tête de liste du PDG aux locales, Victoire Amogho.

Antoine Relaxe

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