De gauche vers la doite : Jean Liévin Idoundou Manfoumbi, Jeannot Kalima (ministre) et Joël Lehman Sandoungout (DG sortant) © Gabonactu.com
Promu Administrateur provisoire de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) le 1er septembre dernier, Jean Liévin Idoundou Manfoumbi a été officiellement installé dans ses fonctions lundi par le ministre de l’Energie, Jeannot Kalima qui a rappelé le lourd cahier de charges à remplir durant les 6 petits mois d’existence de l’administration d’exception mise en place après le limogeage de l’ancienne équipe.
Jean Liévin Idoundou Manfoumbi la mission de mettre de l’ordre dans la maison SEEG gangrénée par une réelle crise de management et une soif d’enrichissement personnel de certains cadres via des sociétés personnelles greffées aux robinets financiers de l’entreprise.
Pour accomplir ses missions de distribution d’eau et d’électricité dans le pays, la SEEG s’est retrouvée avec près de 2000 entreprises de sous-traitance.
Avec l’arrivée du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) au pouvoir, ce nombre a été ramené de 2000 à 300 entreprises de sous-traitance.
« Il faut davantage réduire le nombre de sous-traitant pour ne garder que les incontournables », a recommandé le ministre Kalima en remerciant le Directeur général sortant, Joël Lehman Sandoungout qui a toiletté en 11 mois le portefeuille des sous-traitants.
Le nouvel administrateur provisoire a aussi la mission de débusquer et de limoger les auteurs de la mafia au sein de l’entreprise.
La SEEG est en effet victime d’un scandale de détournement des recettes via un logiciel parallèle de gestion des achats effectués par les clients.
Jean Liévin Idoundou Manfoumbi a aussi la mission de réduire les salaires des cadres comme recommandé par le président de la Transition Brice Clotaire Oligui Nguéma. Il a la mission de faire urgemment démarrer les groupes électrogènes achetés par l’Etat qui sont restés stockés alors que les villes du pays connaissent un déficit en électricité à l’origine des délestages nuisibles.
L’administrateur provisoire entouré des militaires a également le mandat de renégocier la dette de la SEEG.
Pour aider ces administrateurs à réussir leurs missions, le général Oligui Nguema a débloquer 100 milliards de FCFA pour renflouer la trésorerie de l’entreprise. Il a aussi livré des compteurs et des groupes électrogènes.
Antoine Relaxe
la mesure de la transition est fort louable qui a permit la nomination d’un administrateur provisoire à la tête de l’avenir de la SEEG, pour réussir le défit il faudrait que la Direction dédiée à lutter contre le fraude soit constituée des hommes et femmes de valeurs, des vrais patriotes .
Pensez GABON d’abord
je me propose à aider mon pays à pourchasser à jamais l’injustice et la honte
en prônant la vertu
« c’est afin notre essor vers la félicité »
Dame SEEG je suis là au cas échéant
En 1 an les résultats sont là alors les apprentis sorciers qui sont là pour semer le doute doivent se taire et laisser le Président de la Transition et le CTRI continuer sur cet élan vers la félicité qui devient de jours en jours une réalité et non une utopie, que Dieu veille sur le Président de la République, Président de la Transition chef de lEtat et le CTRI..