Election du nouveau président du Conseil national de la jeunesse le 1er avril prochain

Une vue partielle du siège du Conseil national de la jeunesse du Gabon @ DR

Libreville, Gabon (Gabonactu.com) – L’élection du nouveau président du Conseil national de la jeunesse du Gabon (CNJG) aura lieu le 1er avril prochain, a appris Gabonactu.com de source proche du ministère de la Jeunesse et des sports.
 
Dans la perspective de cette élection, la Commission ad ‘hoc chargée des opérations préalables à l’élection au bureau du Conseil National de la Jeunesse du Gabon (CNJG), a passé le témoin à la Commission électorale proprement dite. Cette dernière, présidée par le Secrétaire Général Adjoint 2 du Ministère de la Jeunesse et des Sports, Jean-Paul Tiri est donc chargée de toutes les opérations liées au scrutin, prévu samedi 1er avril 2017 à l’auditorium de la Chambre de Commerce, d’Agriculture et d’Industrie du Gabon.
 
Lors de la réunion de passation de témoin, le Président de la Commission électorale a rendu un hommage mérité au Président de la Commission ad ‘hoc, Jean Daniel Fotso Eyi et à toute son équipe, pour le travail réalisé à travers l’ensemble du territoire national. Son travail portait sur l’adoption du code électoral, l’élection des bureaux des Conseils provinciaux et leur installation. Les neuf (9) Conseils provinciaux, qui forment le collège électoral avec les fédérations et les associations de jeunesse reconnues par le Ministère de tutelle.
 
En attendant le jour J, place à la campagne électorale qui se déroule sur une semaine près, du 25 au 30 avril en cours. Les colistiers sont, eux aussi, tenus de se conformer aux mêmes conditions liées à l’état civil, à la capacité juridique et à la moralité, que la tête de liste.
 
Les candidats à la fonction de Président du CNJG, ainsi que leurs colistiers, doivent remplir les conditions suivantes: Etre de nationalité gabonaise, jouir de ses droits civil et civique, être âgé de 18 ans révolu et de 32 ans au plus, être membre d’une organisation de jeunesse reconnue par le Ministère de tutelle ou d’un Conseil provincial et être mandaté par son organisme. Il est également fait obligation à tout candidat d’avoir une bonne maîtrise de la langue française et un certain attrait pour les problèmes de jeunesse; ainsi que de présenter sur pas moins de dix (10) pages un programme d’action en faveur de la promotion et du développement des programmes de jeunesse.

Vivi Mapassa

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