Le Secrétariat exécutif du Parti démocratique gabonais (PDG), a, au lendemain de la visite d’Etat du Président français Emmanuel Macron au Gabon, salué avec enthousiasme, dans une déclaration formulée mardi 25 novembre 2025 à Libreville, la diplomatie, dit-il, active et agissante du Président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema.
« Le PDG réaffirme avec une ferme conviction que la diplomatie active et l’ouverture des partenariats internationaux sont essentielles au développement de notre Nation. Les échanges engagés durant cette visite montrent à suffisance que le Gabon, sous le leadership actif du Président de la République, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement, Brice Clotaire Oligui Nguema, demeure un acteur central et crédible sur la scène régionale et internationale », a indiqué avec satisfaction, Axel Jesson Denis Ayenoue, porte-parole du PDG.
Durant cette déclaration signée du Secrétaire général Angélique Ngoma, le PDG a salué, particulièrement les « échanges fructueux » orientés vers le développement durable, à travers la protection des forêts gabonaises ; la modernisation de l’économie, articulée autour d’une ferme volonté d’intensifier la « transformation locale de nos matières premières ».
L’ancien parti au pouvoir félicite aussi les engagement portés sur la protection de l’environnement, à travers la préservation de la biodiversité, la lutte contre les changements climatiques, la réduction des gaz à effet de serre et la reconnaissance des efforts du Gabon en matière de préservation des écosystèmes.
Ainsi, il salue également le renforcement de capacités en l’endroit de la jeunesse gabonaises et la coopération sécuritaire « pour la stabilité de notre pays et l’ensemble de la sous-région ».
Le Parti démocratique gabonais n’a pas manqué d’inviter le numéro un gabonais de poursuivre sur cette « voie dynamique de partenariat équilibré, fondé sur la préservation de la souveraineté du Gabon et sur la défense constante de ses intérêts stratégiques et vitaux pour le bien être de notre Nation et au profit de notre peuple ».
Camille Boussoughou
