Les parties prenantes du programme 300 pompes hydrauliques urbaines du Grand Libreville durant la visite de terrain © Gabonreview
Le Maire de Libreville, Léandre Nzué et les responsables de l’Agence nationale des grands travaux d’infrastructures (ANGTI) et du Conseil national de l’eau et de l’électricité (CNEE), tous parties prenantes du projet, ont effectué le 15 mai dernier une inspection des différents sites devant abriter le « programme 300 pompes hydrauliques urbaines du Grand Libreville».
La capitale gabonaise et ses villes voisines (Owendo, Akanda et Ntoum) accusent un grand déficit en eau et même en électricité. Plusieurs quartiers ne sont pas desservis depuis des années, d’autres par intermittence.
Pour approvisionner Libreville et ses environs, la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), seule entreprise ayant le monopole de la distribution d’eau potable dans le pays, dispose d’une capacité de production de 230 000 m3/J pour une demande journalière de 300 000 m3/J. Le déficit est donc de 70 000 m3/J).
Antoine Relaxe