Les Membre du cabinet du Ministre du Pétrole durant le séminaire sur le développement durable le 14 octobre à la Sablière, dans le nord de Libreville © Gabonactu.com
Le Ministère du Pétrole, du Gaz et des Mines, a ouvert jeudi 14 octobre à la Sablière (nord de Libreville), un séminaire de deux jours sur le Développement durable, dédié aux conseillers et autres chargés d’études composant le cabinet du Ministre Vincent De Paul Massassa.
L’atelier vise à inculquer aux proches collaborateurs du Ministre du Pétrole, des notions essentielles sur le Développement durable, qui intègre les aspects économiques, environnementaux et sociaux. A l’instar d’autres fonctionnaires dudit Ministère, il s’agit d’outiller ces derniers, appelés à peser d’une manière idoine dans les éventuelles décisions prises par le Ministère sectoriel.
« Il s’agit d’un domaine purement technique, et les collaborateurs du Ministre ont eux aussi besoin d’être techniquement outillés afin de bien accompagner le Ministre », a indiqué Placide Tsibah, Directeur de cabinet du Ministre du Pétrole ouvrant les travaux.
La thématique centrale du séminaire est : « industries extractives et développement durable au Gabon : Pétrole et Mines ». La formation est assurée par Green advice consulting (GAC), un cabinet conseil en environnement et développement durable.
Selon GAC, le Développement durable doit se définir comme la capacité à répondre aux besoins des générations présentes sans compromettre celle des générations futures à satisfaire les leurs.
Pour l’administrateur général du GAC, Louis Léandre Ebobola Tsibah, par ailleurs conférencier, « il est souhaitable de transmettre à d’autres responsables administratifs pour que évidemment dans la logique dans laquelle s’est inscrit le pays en matière développement durable , puisque nous sommes aussi un chantre des bonnes pratiques et surtout de la protection de la biodiversité, donc il faut que ceux qui participent à la décision ou qui peuvent l’influencer de près ou de loin, puissent disposer de ces savoirs-là, qui, normalement permettront à notre payas d’occuper toujours la place qui la sienne sur l’échiquier international ».
Camille Boussoughou