Emission « Face à vous » :  Rose Christian Ossouka Raponda n’a pas convaincu selon Mays Mouissi

Le Premier Ministre Rose Christiane Ossouka Raponda et l’analyste économique Mays Mouissi © Montage/GMT

L’analyste économique Gabonais, Mays Mouissi a indiqué dans un tweet que le Premier Ministre Rose Christiane Ossouka Raponda qui était invité exclusive lundi 17 mai de l’émission radiotélévisée intitulée : « Face à vous », n’a pas convaincu sur son bilan à la tête du gouvernement 10 mois après sa nomination.     

« Difficile exercice que celui de devoir défendre face à la presse un bilan socio-économique famélique. En 10 mois à la primature, Ossouka Raponda s’est plus illustrée par son safari à travers l’Afrique pour représenter le Président Ali Bongo Ondimba que la résolution des problèmes des Gabonais », a tweeté  M. Mouissi.

Face à la presse, la cheffe du gouvernement a soutenu être à l’ouvrage pour déployer progressivement avec, dit-elle, beaucoup plus de transparente de rigueur, sa feuille de route orientée sur la gestion du Covid-19, la lutte contre les discriminations et les violences faites aux femmes, la construction des salles de classes et les travaux de réfection de l’Université Omar Bongo (UOB), ainsi que la mise en œuvre du Plan d’accélération de la Transformation (PAT).

Camille Boussoughou

One thought on “Emission « Face à vous » :  Rose Christian Ossouka Raponda n’a pas convaincu selon Mays Mouissi

  1. Elle devrait s’occuper un peu plus des problèmes des Gabonais, ce qui n’est pas apparemment sa tasse de thé puisqu’elle fait appel aux forces de l’ordre pour chasser les fonctionnaires et autres retraités qui vont réclamer leur du à la primature. Elle devrait oeuvrer pour que les chômeurs, les filles mères aient une allocation, ce qui serait bonne note pour elle. Elle devrait axer son action sur le domaine social, s’attaquer aux trafiquants illégaux d’or, de bois, d’ivoire qui appauvrissent ce pays qui l’a accueillie, élevée, nourrie, éduquée. Les Gabonais sont fatigués de grandes théories politiques sans lendemain, des projets fumeux, de gros mots creux, ils veulent des logements socio-économiques, leurs salaires, leurs pensions, la régularisation de leurs situations administratives, la réouverture de tous les internats, des stages de perfectionnement professionnel, de nouvelles salles de classes, de nouveaux établissements scolaires, la réfection des anciens établissements etc…

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